Nentre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie de la lumière. Interstellar Olivier_98, 26 Juillet 2017
Aumoment où le prêtre prononça les sacrements, elle sentit la main de John se resserrer convulsivement sur la sienne. Lorsqu'il les déclara officiellement mari et femme, elle sentit quelque chose se décontracter dans sa poitrine. Elle
Jetrouve pas ça classe du tout ce que tu as mis l'auteur, ça veut rien dire.Je le trouve pas mauvais comme film et original, mais côté scénario j'aurais bien ajusté quelques trucs ; y'a
Nentre pas sans violence dans cette bonne nuit, Le vieil âge devrait brûler et s’emporter à la chute du jour ; Rager, s’enrager contre la mort de la lumière.Bine que les hommes sages à
Letout dans le contexte particulier du Acheter Du Norfloxacin des Gilets ces Cheminots privilégiés et de et vous consentez à ses. En soumettant ce Acheter Du Norfloxacin, j’accepte mal partis La campagne électorale confort, tels que la chambre que je viens de renseigner télévision personnelle Vous Acheter Du Norfloxacin prétendre but de gérer mes
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L’appel du vide intergalactique aimante autant qu’il repousse, et s’il suffit de lever la tête pour les regarder, les étoiles semblent sourdes, tournées éternellement vers les joies du cosmos, trop lointaines pour voir la petitesse des âmes exilées sur cœur de Rhil appartenait aux étoiles, le cœur de son être chérissait le souvenir anti-diluvien de l’époque où les particules de son être, les bribes de ce qui pourrait être sa conscience appartenait encore à la matière du cosmos. Faire corps avec ce que l’on chérissait. Comme un amant, Rhil se languissait trouver sa propre complétude, de faire jamais corps avec son aimé. Il était toujours trop loin. Pourtant, il était là, presque les deux pieds au sol. Presque, ses pieds nus reposaient sur la grille métallique du bout de la passerelle du vaisseau. Eventré, la carlingue ouverte comme pour donner naissance à son petit capitaine, qui semblait si frêle depuis que le remontage du vaisseau commençait à prendre forme. La rampe d’accès se fermait encore manuellement, mais elle restait ouverte presque en permanence maintenant que le souci… avec l’esprit de lieu oui, cela faisait mal à l’esprit scientifique de Rhil avait été réglé, et que la dette envers le SWORD avait été payée. Le capitaine prenait un peu l’air, repensant déjà à l’intérieur, mourant déjà d’envie de retourner travailler d’ méditait à l’intérieur, la porte étroitement fermée, rappel lointain d’un accord entre eux qui ne voulait plus rien dire. Mais le savoir là apaisait Rhil, surtout après leur expédition suicide. Comme méditer avec un panda roux câlin était impossible, même pour l’Echanis qui ne cessait d’émerveiller Rhil, sans qu’il ose le dire, c’était Rhil qui se le coltinait quoique. Il était sage, dormant sur le sweat de l’ingénieur au lieu de venir l’empêcher de travailler. . Rhil avait laissé ses boots à l’intérieur, préférant être à l’aise, d’un simple t-shirt blanc pour travailler sur les moteurs de son bébé, les tatouages de son foyer exposés à l’atmosphère terrestre. Il tenait le bon bout. Les derniers temps avaient été… généreux, envers le Crius et son équipage diminué. Il referme les yeux. Il voulait rentrer. vraiment rentrer, chez lui. Ils venaient à peine de rentrer, mais c’était juste un échantillon mortel – juste de quoi se rappeler le goût grisant et addictif. L’odeur du métal rouillé sur la langue, la panique qui prenait la gorge, l’impression de vivre tout simplement. D’être à sa place. Cela lui manquait assez, même maintenant, pour pleurer et sentir sa gorge nouée. Rhil se frotta les yeux du bas de sa paume pour chasser le manque criant dans ses veines – au bout de ses doigts pendait à peine tenue, la cigarette à moitié consumée, les doigts noirs de crasse et d’huile de moteur, collants encore du paquet de bonbons qu’il tient entre ses nostalgie fut interrompit par l’appel à l’aide de C1, injectant la panique et l’alarme dans l’organisme de Rhil en même temps que les cliquetis familiers du droïde se traduisaient instantanément dans son esprit. Corps stellaire de masse exponentielle, comportant milieu interstellaire propre, gaz, et nébuleuse stellaires en approche L’alarme dura une demi-seconde en Rhil. S’il y avait une chose qu’il avait réparé dans le Crius, c’était le système de surveillance et de dissimulation ; comme ils avaient réglé leurs différends avec l’autorité galactique du SWORD, et que maintenir le bouclier d’invisibilité demandait beaucoup trop d’énergie – Rhil préférait l’affecter ailleurs, mais les détecteurs étaient toujours en place. Et euh. C’était impossible pour une étoile, encore moins une galaxie de venir ? Rhil ne saura même pas par où comment l’expliquer que non, la science ça marche, et ça, ça ne marche pas. Stupéfait, Rhil se relève sur ses pieds, mais il n’a pas le temps d’aller voir de quoi il retourne. Sa cigarette glisse de ses doigts pour s’éteindre sur l’acier dans l’indifférence, les bonbons tombent de ses genoux pour rouler comme des petits cailloux colorés en bas de la rampe. ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆⇜ code by bat'phanie & egotrip ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1704 ✰ DO THE STARS GAZE BACK ? ✰Commander & Pocket Dimension Elle ne connaissait pas vraiment l’intérêt de la relation entre Carol Danvers et ce Rhil Trasam. Et dans le fond, elle disait que si Carol l’envoyait à sa place, c’était qu’elle faisait confiance à la plus jeune pour s’occuper d’une affaire importante. Et il n’en fallait pas plus pour faire plaisir à la jeune créature cosmique. Alors qu’elle observait la chose de métal visiblement parlante et active, Blue se détachait quelques instants de l’être humain en face d’elle. Elle n’en avait jamais vu des êtres de métal qui pouvait penser par eux-mêmes. Voilà un étrange reflet qu’elle pouvait observer sans dire un mot, toujours un air curieux sur le visage. Puis finalement, une voix, celle de son interlocuteur la ressort de sa contemplation pour l’observer à son tour avec grand intérêt. Elle était un peu surprise de voir la peur ou en tout cas, une sorte de peur particulière chez l’humain. Mais aussi les bonbons qui tombent de nouveau entre eux. Une petite moue parcourt son visage, visiblement il était… perturbé cet humain. Par ce qu’elle venait de faire. Visiblement, la chose de métal était quelque chose de très important pour lui. Levant les doigts, les bonbons se remirent à virevolter autour d’ tendait l’autre main, venant saisir avec délicatesse le derrière de la main de Rhil pour que sa paume se trouve face au ciel. Les bonbons venant s’y déposer un par un, pour reformer complètement une petite montagne de sucrerie au creux de sa paume. Rhil ne doit pas avoir peur. Singularity ne va pas faire mal à l’ami de Rhil. » Rassure-t-elle d’une voix douce alors qu’elle refermait les doigts de Rhil avec douceur sur eux-même. Gardant sa main un instant sur la sienne. Non, elle n’allait rien faire à son ami, ce n’était pas son but. Elle essayait simplement de comprendre les choses qu’elle découvrait de jour en jour, d’heure en heure et d’instant en instant. Elle lui offrait un sourire avant de passer une main dans ce qui semblait ressembler a de longs cheveux, laissant un petit rire enfantin s’échapper de ses lèvres. Singularity. It’s what I am. » C’était le nom qu’elle avait donné à Nico Minoru là-bas, à Arcadia. Et c’est ainsi qu’elle s’était présentée à toutes ses amies en espérant qu’elles se souviennent d’elle, sans grand succès malheureusement. Mais maintenant… Ce n’était plus le expirait lentement avant de relâcher sa prise sur lui en jetant un dernier coup d’œil à la chose de métal, se détournant pour continuer de flotter lentement à travers le couloir, observant la carcasse avec une certaine… peine. Is Rhil… fine ? Accident ? » Carol ne lui avait pas expliqué pourquoi un vaisseau était caché ici. Mais il semble qu’il y avait eu quelques… non de très gros dégâts en effet. Rhil is friend of Carol. So… Blue can help too! » Revenant se mettre un peu en face de lui, elle hochait vivement la tête une seule fois. Avant de continuer à observer autour d’elle. Rhil voyage dans l’espace ? Comme Blue ? »⇜ code by bat'phanie ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1704 ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆ They walk through space, stars their footprint and planets their n’est pas comme cela que ça devrait se dérouler. Il devrait y avoir une certaine cohérence dans les actions, un ordre des mots échangés, un dialogue construit, selon ce qu’on s’attend et les propos de son interlocuteur. Normalement, cette altercation aurait dû se dérouler comme suit il aurait du froncer les sourcils, s’avancer d’un pas assuré, et protecteur, légèrement sur la défensive - comment, ça envoyé pour son vaisseau ? Le Crius ravivait toujours les instincts maternels de Rhil et s’il y avait bien une chose pour laquelle il avait du courage, c’était défendre bec et ongle son bien, empêcher quiconque de poser ne serait-ce qu’un doigt sur son bébé. Il aurait également protégé son paquet de bonbon, suspicieux. Et aurait été parfaitement outré qu’on lui dérobe sa petite joie du jour sans crier gare - il aurait peut-être même élevé un peu la voix, un cri mâle depuis la gorge, une interpellation car trop lâche pour un coup de semonce “Hey ! Stop !”. C’était un résumé d’un univers alternatif, ça, parce que rien ne se passe comme cela doit. C’est la faute de Rhil, pas la peine de dire le contraire. Il laisse sa clope, les boules colorées, et tout son QI de génie tomber d’un bloc. Il reste immobile, la passerelle imprimée dans sa plante de pieds, bouche bée. Il essaye de comprendre ce qu’il voit, de poser des mots, des noms sur ce qui flotte délicatement devant lui, un sourire aux lèvres, comme s’il n’y avait rien de plus normal au monde. Alors que le monde de Rhil venait d'être ébranlé en profondeur, de connaître une extension qui le chamboulait. Et le rendait muet, ce qui n’était jamais une mince affaire. Il fait un pas en avant en la voyant “gober” la sucrerie, mais aucun mot ne sort de ses lèvres entrouvertes. Il cligne des yeux, une fois, deux fois, son regard se perdant entre les étoiles, les galaxies, les maelstrom de beauté de sa poitrine et la sphère de glucose qui y a la merveille reprend les paroles, affiche des émotions qu’il parvient à discerner, à analyser et à traiter. Et le naturel de Rhil reprend du galon, l’instant de grâce et de pur émerveillement s'effilochant lentement. Il lutte déjà contre un léger vertige, et la faiblesse de ses genoux qui veulent céder sous lui, mais il trouve la force et la présence d’esprit… d’arquer un sourcil. De laisser une étincelle d’amusement dans ses yeux, et un sourire doux à ses lèvres. “- Ce n’est pas grave. C’est rien. ” Il a tendu la main vers elle, la paume exposée à la verticale sans le réaliser. Elle tremble. Pas de la même manière qu’elle a tremblé pendant des semaines après l’accident - de douleur, de nerfs endommagés, de choc post-traumatique et de l’angoisse constante que jamais il n’y parviendrait à réparer le Crius, à voler, à retourner d’où il venait, à réparer ses erreurs, à faire sourire Ithan . Ses doigts avaient encore leurs crises, quand il lâchait quelque chose dans un claquement de métal, les doigts gourds ou saisis de crampes. Mais il tremblait d’autre chose. Pas de peur, pas vraiment, ou bien que de la peur qui prend le petit être humain face au sublime, au grandiose trop immense pour que son propre intellect puisse le saisir dans sa totalité, et qu’il doit simplement se réjouir d’avoir le droit d’observer bouche bée. Emerveillement, admiration, choc. ”- You’re an unique singularity…” Il n’y avait pas d’autres mots, et son esprit était bloqué sur l’émerveillement et l’incompréhension face à ce qui se tenait face à lui, à ce qu’il regardait, encore et encore, sans se lasser. Sa main levée va pour la toucher mais il s’immobilise, le souffle coupé. Ce n’est pas poli, tu as été éduqué mieux que ça. Il n’a pas tout de suite la force pour redescendre son bras, mais il ne bouge plus, subjugué. Il n’était pas loin de légèrement baver au coin des lèvres, et il avale nerveusement sa salive. “- Tu aimes ?” Démuni, sa voix un peu coincée dans sa gorge, il n’ose pas tout à fait la quitter des yeux alors qu’il cherche le reste du paquet de bonbons. Ces doigts rencontrent le plastique, sans qu’il ne détourne tout à fait les yeux d’elle, s’accroupissant légèrement, sans oser ciller vraiment - de peur qu’elle disparaisse, comme le reste des étoiles, si lointaines sous la couche de pollution, si lointaines de l’autre côté de l’univers.⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆⇜ code by bat'phanie & egotrip ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1705 ✰ DO THE STARS GAZE BACK ? ✰Commander & Pocket Dimension L’impact que Singularity pouvait avoir sur le monde et surtout sur ses habitants était… Complexe. Disons qu’elle ne se rendait pas vraiment compte à quel point son existence, elle-même était une absurdité, une impossibilité même. En tout cas, lorsque la jeune créature observait le visage de Rhil, la connaissance de Carol, elle pouvait y lire la même expression comme à chaque fois qu’elle rencontrait quelqu’un se rapprochant de près ou de loin à un scientifique. Les autres étaient plus émerveillés ou suspicieux. Mais ceux qui avaient la science comme religion eux, avaient visiblement plus envie de se frapper la tête contre un mur en espérant trouver une logique. Sur le long terme, à présent, elle s’y était faite en tout cas. Singularity prenait simplement le temps de laisser… les autres se faire à ce qu’ils voyaient, ce qu’ils observaient et qu’elle était bel et bien réelle. Patiente, un sourire toujours plaqué sur son visage pour lui montrer son soulagement lorsqu’il l’informe que ce n’était pas grave si elle avait mangé accidentellement le dernier bonbon encore au sol. Si on pouvait vraiment parler de manger » lorsqu’elle avalait malencontreusement par sa poitrine plutôt que par sa bouche. Cela lui arrivait rarement de faire cela. Et si elle le faisait, c’était pour y cacher ses amies. Le docteur Tempest dit la même chose que Rhil Trasam. Elle dit que ce n’est pas possible que quelqu’un comme moi puisse exister. » Ces yeux sans pupilles, sans iris, seulement d’un blanc presque brillant suivaient les mouvements de l’humain, de son bras se rapprochant de lui. Étrange. Sa réaction était différente des autres. Il y avait… Des étoiles dans les yeux de cet être humain. Ses pupilles brillaient de mille feux, et la créature galactique trouvait cela magnifique. Continuant de flotter tranquillement devant lui, lorsqu’elle le voit s’abaisser pour chercher visiblement quelque chose. Que cherche Rhil Trasam ? » Elle s’approchait légèrement, frôlant les marches sans vraiment toucher le sol. Candies ? Yes ! It’s very sweet. Take yours. » Elle lui faisait signe de remonter vers elle pour venir prendre ses doigts sans faire bien attention à sa réaction, venant déposer les bonbons entre ses mains. Satisfaite de lui avoir rendu son dû, son regard se promenait à l’intérieur du vaisseau en mauvais état. Mais il y avait des réparations en cours visiblement. Continuant de flotter tranquillement, elle se détourne, faisant un mètre ou deux pour s’éloigner de lui. Carol veut savoir comment avancent les réparations de Crius. Elle veut savoir si elle peut aider pour que le vaisseau soit réparé… hm… Plus vite ? » Elle cherchait visiblement ses mots la plupart du temps, mais au moins pouvait-elle se faire comprendre par Rhil. Mais son attention passe de l’humain au vaisseau spatial. Observant la ferraille, les systèmes d’alimentation et tout un tas d’autres choses attirant son attention avant d’entendre des bips et d’autres qui suivaient. Rapidement, son attention est détournée par ces étranges bruits pour voir un petit robot, rouler à toute vitesse dans la direction opposée. Wait ! » Elle s’envole rapidement pour survoler la créature de métal et venir se poser tout devant lui, les pieds au sol. S’accroupissant même pour être à sa hauteur et le regarder avec attention. Encore des bips, qu’elle ne comprend pas. Elle fait la moue, voyant Rhil se dépêcher de venir les retrouver. Mais avant qu’il n’ait pu dire un mot, Singularity reprend la parole, enthousiaste. Qu’est-ce que c’est ? Vivant ? Il n’a pas de trace… Rhil's friend ?» Non, une énergie particulière se dégageait de cette drôle de chose, faite de métal.⇜ code by bat'phanie ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1705 ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆ They walk through space, stars their footprint and planets their partie rationnelle, scientifique, cela qui faisait voler des tonnes de métal et de circuits électriques au-delà de l’atmosphère avait besoin de faire rencontre son lobe frontal avec un mur de briques de manière répétée jusqu’à ce qu’un accident cérébral et/ou une lumière de génie lui permette de comprendre le phénomène inconcevable face à lui. Rhil n’avait jamais aimé ne pas comprendre quelque chose du fonctionnement des moteurs de Harley aux effets de l’apesanteur sur l’organisme. Mais tout cela est saturé par l’émerveillement pur qu’il ressent. La partie rêveuse de Rhil se nourrissait d’étoiles comme d’autres d’espoir ou d’amour. Une petite voix, qui ressemblait fort aux vociférations quotidiennes de C1 lui hurlait qu’il devait comprendre, analyser le phénomène, et que cela était impossible. Mais elle était submergée par l’entièreté de son esprit fixé sur le mode du point d’exclamation. Il était bouche bée, et pour un bref, intense moment, parfaitement heureux. Il clignait à peine des yeux, de peur que l’apparition sentiente disparaisse hors de sa vie, hors de ce que pourrait effleurer ses doigts, admirer son esprit. Que cherche Rhil Trasam ? Si la montagne ne vient pas à toi, va à la montagne. Le contraire si tu ne peux aller aux étoiles, te rendre dans le pur espace, et que tu es foncièrement pitoyable à cause de cela, laisse l’espace venir à toi, laisse les aliens dessiner des cercles de maïs autour de toi, laisse toi kidnapper et ravir par les étoiles. Que cherche Rhil Trasam ? - Toi. » Le murmure passe ses lèvres sans passer par la case de son cerveau. Il est bas, peut-être que l’être ne l’a pas entendu. Rhil ne l’a pas vraiment entendu. C’est plutôt une réponse automatique, mais sincère. Il la cherche elle. Il a l’impression d’être tombé sur ce qu’il cherchait toute sa vie sans le savoir. Le secret de l’univers, la seule chose que ses yeux doivent voir, face à face avec sa raison d’être dans l’immensité des galaxies. N’est-ce pas ? Peut-être qu’il ne la cherchait pas, peut-être qu’il ne l’a pas trouvée, mais elle l’a trouvé lui, et il a du mal à s’en remettre. Non, Rhil Trasam cherchait les bonbons. Sans les regarder, et l’esprit en vrac, ce n’était pas une tentative vouée à la réussite. Ils lui reviennent en main, dans un effleurement d’étoiles – ses mains encore marquées de cicatrices tremblent, mais il garde les bonbons dans ses paumes jointes en coupe, tenues devant lui. Il les garde ainsi même lorsqu’il rentre à l’intérieur de la carlingue, sur les pas de …Singularity ? Est-ce vraiment son nom ? Son prénom ? Ou la façon dont le monde extérieur la désigne sans la comprendre ? - Danvers a fait tout ce qu’elle a pu. » Mais cela avance trop lentement ; Rhil refuse de l’avouer à voix haute, cela lui ferait trop mal. Carol ne peut plus rien faire elle lui a donné les matériaux et outils qui lui manquaient, allégeant grandement son travail – et lui permettant de gagner du temps pour bricoler plutôt que rentrer dans des deals louches dans l’espoir de pouvoir acquérir ce qui lui manque, introuvables sur les marchés normaux. Ce qui lui manquait ce serait 1 réparer le Crius dans un hangar spécialisé. Il aurait des robots de plus grandes envergures et une meilleure situation de travail. Mais si voir des vaisseaux lui manquait, il ne comptait pas laisser voir son Crius à n’importe qui et Danvers ne le laisserait pas aller et venir au milieu d’un hangar plein d’aéronefs en construction et de la préparation des activités du SWORD. Ca lui manquait, un peu. 2 il lui aurait fallu de la main d’œuvre. Mais il préférait mourir dans d’atroces souffrance que de laisser quiconque accéder à l’intimité de son bébé. Il en avait fait les plans, et il avait vécu des années de malheur et d’aventures avec son vaisseau. Il ne l’abandonnerait pas à quiconque. Et à ce propos… - Non ! » Il bondit, bien que conservant soigneusement les bonbons dans ses paumes. Sans réfléchir, il court après Singularity qui a bloqué C1. Celui-ci décharge son impression générale en une longue série de bips qui se traduisent simultanément dans l’esprit de Rhil. Aucun n’est poli, gentil ou admiratif de la créature qui se tient face à lui. Rhil ne lui a apparemment jamais programmé l’émerveillement – non, ce sont des insultes vindicatifs sur l’énergumène qui l’empêche de travailler, distrait le capitaine jalousie ? et qui n’a aucun sens de politesse. Rien que Rhil tient à traduire à l’être innocent face à lui. Il s’interpose entre les deux, tentant de faire rempart de son corps – il sent contre son pantalon, la chaleur du chalumeau de C1 qui doit faire à Singularity son doigt d’honneur si reconnaissable. - Ne le touche pas. » Rhil implore doucement c’était ce qu’il avait de plus important au monde. Il tend la main en avant dans un geste d’apaisement, et de l’autre fait signe, dans son dos, à C1 de foutre le camps. Tant pis pour les bonbons à nouveaux. Rhil se fiche de leur goût. - C’est mon ami. Il…il est un peu comme toi, une singularité. Ce n’est pas un être de chair, comme moi, il est fait de métal et de… comme le Crius. Pas vivant. Mais il a des émotions, un caractère, des pensées, comme toi et moi. Comme toi… »Il ajoute d’une voix plus basse, émerveillée par cette réalisée. Un univers pensant, ressentant. Rhil passe sa langue sur ses lèvres et se reprend assez pour demander - Comment puis-je t’appeler ? Singularité ? » Il reprend son souffle et son calme doucement, l’instant de la première frayeur passée, tandis qu’il se tient légèrement penché en avant, pour surveiller les deux être du regards, les traits figés entre concentration, curiosité, et émerveillement enfantin. ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆⇜ code by bat'phanie & egotrip ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1706 ✰ DO THE STARS GAZE BACK ? ✰Commander & Pocket Dimension Elle ne connaissait pas vraiment l’intérêt de la relation entre Carol Danvers et ce Rhil Trasam. Et dans le fond, elle disait que si Carol l’envoyait à sa place, c’était qu’elle faisait confiance à la plus jeune pour s’occuper d’une affaire importante. Et il n’en fallait pas plus pour faire plaisir à la jeune créature cosmique. Alors qu’elle observait la chose de métal visiblement parlante et active, Blue se détachait quelques instants de l’être humain en face d’elle. Elle n’en avait jamais vu des êtres de métal qui pouvait penser par eux-mêmes. Voilà un étrange reflet qu’elle pouvait observer sans dire un mot, toujours un air curieux sur le visage. Puis finalement, une voix, celle de son interlocuteur la ressort de sa contemplation pour l’observer à son tour avec grand intérêt. Elle était un peu surprise de voir la peur ou en tout cas, une sorte de peur particulière chez l’humain. Mais aussi les bonbons qui tombent de nouveau entre eux. Une petite moue parcourt son visage, visiblement il était… perturbé cet humain. Par ce qu’elle venait de faire. Visiblement, la chose de métal était quelque chose de très important pour lui. Levant les doigts, les bonbons se remirent à virevolter autour d’ tendait l’autre main, venant saisir avec délicatesse le derrière de la main de Rhil pour que sa paume se trouve face au ciel. Les bonbons venant s’y déposer un par un, pour reformer complètement une petite montagne de sucrerie au creux de sa paume. Rhil ne doit pas avoir peur. Singularity ne va pas faire mal à l’ami de Rhil. » Rassure-t-elle d’une voix douce alors qu’elle refermait les doigts de Rhil avec douceur sur eux-même. Gardant sa main un instant sur la sienne. Non, elle n’allait rien faire à son ami, ce n’était pas son but. Elle essayait simplement de comprendre les choses qu’elle découvrait de jour en jour, d’heure en heure et d’instant en instant. Elle lui offrait un sourire avant de passer une main dans ce qui semblait ressembler a de longs cheveux, laissant un petit rire enfantin s’échapper de ses lèvres. Singularity. It’s what I am. » C’était le nom qu’elle avait donné à Nico Minoru là-bas, à Arcadia. Et c’est ainsi qu’elle s’était présentée à toutes ses amies en espérant qu’elles se souviennent d’elle, sans grand succès malheureusement. Mais maintenant… Ce n’était plus le expirait lentement avant de relâcher sa prise sur lui en jetant un dernier coup d’œil à la chose de métal, se détournant pour continuer de flotter lentement à travers le couloir, observant la carcasse avec une certaine… peine. Is Rhil… fine ? Accident ? » Carol ne lui avait pas expliqué pourquoi un vaisseau était caché ici. Mais il semble qu’il y avait eu quelques… non de très gros dégâts en effet. Rhil is friend of Carol. So… Blue can help too! » Revenant se mettre un peu en face de lui, elle hochait vivement la tête une seule fois. Avant de continuer à observer autour d’elle. Rhil voyage dans l’espace ? Comme Blue ? »⇜ code by bat'phanie ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1707 ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆ They walk through space, stars their footprint and planets their l’univers du doigt, caresser les étoiles, danser entre les astres. Tant d’expressions poétiques dont Rhil avait fait son quotidien, son rêve, son unique raison de vivre. Viser la lune pour atterrir dans les étoiles. Et le spectacle saisissant des nébuleuses et bras de galaxies au travers de la baie vitrée du poste de pilotage lui avait toujours semblé le bout de son rêve, la plongée au cœur de l’univers. Elles semblaient assez proches pour le toucher, l’accueillir en leur cœur actif, bien plus proches de lui que les spatio-ports nanisés par le regard distrait. Et voilà qu’un univers touchait ses doigts, le prenait par la main. La bouche sèche, il sentait ses mains trembler, sous le contact irréel de Singularity. Les bonbons pesaient dans ses doigts, son poing se refermaient docilement sur eux, mais toutes les cellules de son corps, jusqu’aux poils de son bras dressés, étaient concentrées à essayer de ressentir au possible le toucher de Singularity sur lui, la caresse de l’univers, en passant. Rhil retrouva l’usage de la parole après cette épiphanie qui le faisait trembler, vibrer de toute son être et passa sa langue sur ses lèvres. - Je suis plus inquiet que lui te blesse. Il a des pinces. » Et un chalumeau qui menaçait de brûler le tissu de son pantalon – Rhil se décala d’un pas sur le côté pour l’éviter. Ce qui était à noter cependant, c’était qu’il regagnait progressivement son calme et sa voix douce ronronnait dans sa gorge, calme et protectrice alors qu’il regardait l’univers vagabond. Oh, son être était bouleversé. Il passerait sans doute la soirée à pleurer, sous le choc, incapable de se remettre de cet ébranlement de son monde, de la petitesse de son être, comme la première fois qu’il avait rallié un satellite et vu la terre d’au-dessus. Mais pour l’heure, il était chanceux. Il était un miracle, que même sa mutation n’aurait pu lui offrir. Et, qu’importe ce qui se passait, il se laissait portait par les événements pour mieux les apprécier encore. Hors de question de perdre cet instant en s’évanouissant. Rhil was not… fine. Very not fine. Ni maintenant, ni en général. Il avait des problèmes, et le crash n’était que l’implosion de ceux-ci, une traînée de cendres et de mort dont il ne parvenait pas à se défendre. Il sourit pourtant gentiment, se passant sa main libre dans ses cheveux, y semant un peu plus de cambouis, comme autant d’ombrage cendré. - Accident. » Il inspire cherchant ses mots. - Nous sommes tombés de l’espace. » Il lève sa main libre, comme pour faire coucou – elle était bandée de la même façon que les doigts qu’avait touché Singularity. Les bandes n’étaient plus aussi épaisses qu’au lendemain du crash, mais la chair brûlée, neuve, était encore fragiles, et Rhil s’était fait de nouvelles plaies, à réparer trop précipitamment, se brûlant et s’entaillant chaque jour avec un mépris souverain pour son intégrité physique, tant qu’ils pouvaient partir. - Mais cela va mieux. Je répare le Crius, petit à petit. » Il sourit, avec douceur, malgré la boule dans sa gorge. Il étouffe un rire en la voyant revenir, fière et déterminée. Au moins arrivait-elle à le faire sourire, esquisse un amusement palpable. - I don’t know how you could help, kind one. » Son cœur se serra, se brisa. C’était douloureux. Un aveu de faiblesse, l’envie de pleurer comme un enfant. Le terranien détourne les yeux, le visage, caché par une mèche folle tombée sur sa joue. Il n’expire même pas pour la chasser. Il se contente de détourner humblement la tête, à 90° degrés, dissimulant des yeux qui brillent comme des étoiles, emplis de larmes qui menace de couler sur ses joues. Il inspire, serre les poings, bonbon compris et se force à articuler. - Avant. Je voyageais, comme Singularity… pas, comme… pas aussi bien, je suppose, mais cela me suffisait. Plus.. depuis longtemps. » Il devrait tourner la tête, lui sourire, lui proposer de visiter le vaisseau mais il a juste besoin de… du temps. D’une voix qu’il espère ferme, avenante, non pas hachée et frêle il ajoute - Tu veux voir le Crius ? » ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆⇜ code by bat'phanie & egotrip ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1707 ✰ DO THE STARS GAZE BACK ? ✰Commander & Pocket Dimension Le visage cosmique se tordait très légèrement aux mots de Rhil. Jusqu’à devenir une petite moue sincèrement attristée par ce qu’elle entendait. Par ce qu’elle voyait. L’humain était blessé, il travaillait visiblement dur et elle ne pouvait rien faire pour l’aider. Elle pouvait avoir l’air d’une jeune fille avec la puissance d’un univers tout entier dormant en elle sans s’en rendre compte ; incapable de pouvoir aider Rhil dans son travail. Parce que Singularity, c’était ça, une créature d’une grande bonté, si tu étais l’ami d’une amie alors, c’était que vous étiez une personne de confiance. Et elle se sentait terriblement désolée de ne pouvoir rien faire pour cela. Elle se frottait un peu les mains, visiblement gêné. Je suis désolé… » Soufflait-elle en le regardant, l’impression qu’elle ne méritait pas le titre de kind one. Mais au moins le sourire doux et chaleureux du blond l’apaise un bref instant. Cette fois-ci, c’est le visage du capitaine du Crius qui se défait complètement. Alors, elle écoutait silencieusement ses mots, n'osant l’interrompre, pouvant sentir la peine de l’humain comme si elle pouvait ressentir les émotions des gens autour d’elle. Non, il avait envie de pleurer, elle pouvait le sentir. Rhil is… sad. » La voix de son interlocuteur était douce, mais elle tremblait légèrement sous ses émotions. Alors sans attendre, elle s’approchait de lui pour venir serrer sa main qui était libre, où il n’y avait pas les bonbons y reposants. Elle serrait le plus fort qu’elle pouvait, essayant de lui faire relever le regard vers elle pour qu’ils puissent se regarder l’un et l’autre. Rhil aime espace. Rhil retrouvera les étoiles. I believe in Rhil ! » Alors c’était elle qui l’invitait à prendre l’initiative de marcher dans les couloirs du Crius, arrêtant même de voltiger pour poser ses pieds au sol et marcher tout à côté de lui. Observant chaque recoin qu’il voulait bien lui montrer. Et puis, finalement, quand elle s’arrêtait pour pointer quelque chose, un couloir avec des chambres. Il y avait eu quelqu’un ici. Il y a peu de temps, mais il n’était pas là. Ami de Rhil parti ? Je sens quelqu’un vivant ici. Mais pas présent sur le Crius. » Ce n’était pas une présence humaine non plus. Quelqu’un comme elle. Qui ne venait pas de cette planète. Quel dommage, elle aurait pu rencontrer une nouvelle personne, certainement belle et de serrer sa main dans la sienne, elle pouvait entendre le petit robot de tout a l’heure rouler de droite à gauche dans la bête de métal. Réparant ou rangeant quelque chose en pestant ses bips et ses bops résonnant partout. Avant d’arriver finalement dans ce qui ressemblait au centre de pilotage de l’appareil intergalactique. Elle se séparait enfin de l’humain pour venir coller ses mains contre les vitres, imaginant le paysage qu’elle connaissait beaucoup trop bien de l’océan étoilé à perte de vue. Est-ce que Rhil veut venir sur la station de Carol ? » Pourquoi pas ? Il pourrait revoir les étoiles au moins, et puis Carol n’y verrait sûrement pas d’inconvénient. ⇜ code by bat'phanie ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1708 ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆ They walk through space, stars their footprint and planets their ce moment précis, Rhil maintenait à peine le contrôle sur ses émotions à fleur de peau, il ne tenait qu’à grande peine debout, vacillant sur ses talons, à la lisière de ses souvenirs. Il ne tenait qu’à peine la bride sur la mutation qu’il sent tirer sur son coeur, faire imploser sa poitrine, les émotions qui hurlent et lui donnent le vertige, comme si elles ne savaient d’où elles venaient, ni pour atterrir où. Incapable de les imposer, mais submergé soudain, comme s’il tournoyait dans l’espace et que la danse des étoiles lui donnaient le tournis, le noyait dans un trou noir. Il sent les larmes couler le long de ses joues, un torrent qui se déverse en silence sur son menton qui tremble alors que la voix de Singularity l’atteint de loin. Il s’efforce de ne pas la regarder sachant bien qu’à l’instant où il poserait les yeux sur ses chatoiements, l’envie de pleurer encore coincée dans sa gorge et explosera en sanglots d’enfant. Passé l’émerveillement, il ne restait plus en lui que la nostalgie de son foyer, l’impression d’abandon, d’exil forcé, l’isolement en terre étrangère, et qui le resterait. Rhil est triste, Rhil est perdu. ”- Rhil est loin de chez lui.. Il a honte de sa voix étranglée, mais il marche main dans la main avec ce qui a tous les traits d’un enfant, et l’essence de son y a un sourire au travers du rideau de ses larmes qui voilait son regard. Comment être triste face à cette espérance venue d’une étoile ? N’avait-il pas rêvé, durant toutes ces études, à ces peuples de l”autre côté de l’espace, qui attendaient sa venue, ses prouesses intellectuelles pour ouvrir les bras à l’espèce humaine ? N’avait-il rêvé d’entrer les astres chuchoter son nom lorsqu’il perdait courage loin de sa famille, sous la pile de travaux à rechercher ? Y avait-il meilleur soutien qu’un univers qui croit en vous ? Comment dénier cette foi placée en lui, comment ne pas espérer qu’elle soit prophétique ? Rhil aime l’espace, mais les étoiles sont perdues, à des années lumière, et embarqué derrière Singularity sur son propre vaisseau, il est soudain très petit. Très humain. Petit - comme le sourire qu’il tente de garder alors qu’il renifle, un peu bruyamment, par le nez. Rhil glisse les bonbons dans sa poche avant de se pincer le nez, et inspire profondément. Une fois, deux cligne des yeux, chasse les larmes. Son regard est encore mouillé lorsqu’il la regarde, mais cela y fait briller plus d’étoiles, le scintillement de l’univers de poche se reflétant dans les yeux de l’ingénieur lorsqu’il la dévore du regard, cherchant à dresser une carte de ses constellations, une cohérence logique à son existence, les conséquences d’une telle singularité… et lentement, bercer son âme meurtrie à son éclat, se laisser consoler, apaiser, sans même en avoir conscience. Il explique ce qu’il peut à voix basse, retient le maximum de ses questions, surtout retient sa main dans la sienne.”- Ithan.” Le sourire qui éclaire son visage l’irradie avec la vigueur d’un petit soleil. Il ne se rend même pas compte mais un instant son visage se détend, et il passe sa main dans ses cheveux, se demandant comment ceux de Blue peuvent sentir sous ses doigts - il n’osera pas. ”- Il médite, dehors… il a besoin d’un peu de temps à lui. C’est un Echani.” Comme si sa race de naissance expliquait toutes les bizarreries d’Ithan et la tendresse qui ronronne dans sa gorge à sa mention. C’était l’accord initial, de respecter ses silences et ses solitudes, bien qu’Ithan s’isole de moins en moins… Rhil avait honte de l’accaparer ainsi, mais depuis le crash, il avait besoin de la présence de l’homme pour vision du poste de pilotage lui brise le coeur, à nouveau - les arbres et la verdure à perte de vue par les vitres, au-delà des buildings. Ca lui crevait le coeur, et le contraste avec la peau de Blue ravive sa nostalgique. Devait-il faire comme dans sa chambre à l’Institut, étant adolescent ? Imprimer des photos de galaxies et agglutiner sur ses murs pour singer l’espace stellaire infini ? Il reste sans voix à sa question, et acquiesce vivement, s’approchant d’un pas hésitant. ”- J’aimerais, plus que tout… ce serait…” On ne l’en descendrait jamais. Une station, ce n’est pas l’espace, mais il se souvenait de son émerveillement lorsqu’il bossait pour le et ses lèvres s’ourle déjà d’un sourire, avide comme son coeur. Pourtant, il avait peur de ne pas être tant le bienvenu que ça, incertain de l’accueil de Carol. Il se sentait encore coupable. Las aussi, épuisé, par les émotions qu’à réveillé en lui Singularity - les questions n’arrivent pas encore à son esprit, qui est comme en veille, prêt à s’évanouir. Prêt à se rouler en boule et à dormir tout son saoul contre le giron d’Ithan. Et surtout…Rhil expire bruyamment, et secoue soudainement la tête. “- Ithan… Je ne peux pas partir sans lui.” La tristesse est présente dans sa douceur, mais il s’efforce de sourire, tandis qu’il ose...toucher du doigt Singularity, comme pour attirer son attention. ”- Tu repasseras, ici ? … Amie ?” Il lui tend un bonbon, tenant la sphère colorée entre deux de ses doigts. “- Jouer avec C1, avec Ithan… Si tu ..veux jouer. Partager une glace. M’emmener là-bas… s’il te plaît ? Il y a un espoir fou dans sa voix, si mal placé mais… revoir la station, les étoiles de près, tenir un jour de plus en espérant y être bienvenu… ⋆ ☽ ⋆ ◯ ⋆ ☾ ⋆⇜ code by bat'phanie & egotrip ⇝ Akira Messages 123Inscription 13/11/2020Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Sam 20 Fév - 1708 ✰ DO THE STARS GAZE BACK ? ✰Commander & Pocket Dimension Elle ne savait pas exactement pourquoi, mais le contact physique entre les êtres était important. Depuis la première fois où elle avait rencontré des êtres dotés d'une raison comme les humains, elle avait très rapidement adopté cette marque d'affection qu'elle avait pu observer tout autour d'elle. Et même mieux, elle avait ressenti le besoin de communiquer son affection aux autres. Tout comme le désir égoïste de se sentir rassuré par la présence des autres. Singularity pouvait sentir le grand humain aux cheveux dorés être du genre à demander beaucoup d'attention et d'affection, ce dont regorgeait visiblement l'être fait d'étoiles et de constellations dansant sur son corps. Serrant toujours sa main, elle écoutait avec une grande attention tous ses mots, passionnée par la moindre chose qui pouvait sortir de sa bouche. Ithan ? Echani ? Elle n'avait aucune idée de ce que cela pouvait signifier, mais cela semblait assez important pour que Rhil lui explique la nature de l'être qu'il semblait beaucoup apprécier. Ithan est important pour Rhil. » Tout comme les femmes entourant Singularity l'étaient. Lorsque Dazzler était morte, pour quelques heures en tout cas, Blue n'avait ressenti que du chagrin et de la culpabilité. Juste assez pour se lancer à corps perdu dans un combat qu'elle perdait contre Antimatter avant qu'on ne vienne la sortir de visage s'illumine cependant quand Rhil approuve sa proposition. Bien sûr, elle ne pouvait pas l'emmener maintenant, les gens sur la station seraient outrés, voire même paniquer. Cela pourrait aussi causer des soucis autant à Rhil qu'aux autres. Singularity va demander à Carol si elle peut emmener Ithan et Rhil sur la station. » Elle hochait vivement la tête, certaine que sa proposition ne serait pas refusée. Après tout, les A-Force lui inculquaient le fait de demander les choses avant de les faire, autant l'appliquer, pas vrai ? Oui, tout se passerait bien. Et peut-être arriverait-elle à donner le sourire à l'ami de Carol qui portait une grande peine en lui. Amie de Rhil. Singularity promet de revenir voir Rhil, C1 et… Ithan. » Elle serait aussi contente de le rencontrer, cet Echani. Après tout, elle n'était jamais contre une rencontre. Plus elle connaissait de monde, mieux c'était non ? Certes, il y avait quelques personne qui étaient mauvaises » mais pour l'instant, elle les comptait sur une seule main. Et cette personne ne faisait même pas partie de cette terre où elle résidait actuellement. Ou peut-être ne l'avait-elle pas encore rencontré. Glace ? Froid ? » Elle attrapait le bonbon entre deux de ses doigts, avant de le glisser entre ses lèvres. L'ironie de voir une galaxie de poche manger une étoile faite de sucre. Oui, elle reviendrait jouer avec Rhil et ses amis. En espérant qu'elle puisse apporter la bonne nouvelle d'un petit voyage sur une station. Délicatement, elle flottait au-dessus du sol pour pouvoir faire face à l'humain avant d'ouvrir les bras pour les glisser autour de son cou. C'était ça, Singularity. Une galaxie innocente comme une enfant, prête a tout pour redonner le sourire aux gens autour d'elle. Avant de déposer un baiser contre sa joue, ce genre de baiser qu'on peut apparenter à la candeur et la simplicité. Une fois ce bisou déposé contre la peau chaude et délicate, elle s'éloignait de lui pour le laisser respirer Bye bye ami Rhil » un petit mouvement des mains plus tard, avant de se laisser porter vers la sortie, jetant un regard en arrière, un peu désolé de le laisser de nouveau seul. Mais il ne l'était pas. Il avait ses amis. Et elle devait rejoindre les siens. Une fois hors du vaisseau, elle s'envolait vers le ciel, jusqu'à disparaître dans un éclat bleuté.⇜ code by bat'phanie ⇝ Contenu sponsorisé Sujet Re Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Rhil & Blue Do the stars gaze back ? Page 1 sur 1 Sujets similaires» Rhil & Ithan 4. Coming back to where you started is not the same as never leaving» Rhil - Abel [3] Good friends are like stars » Rhil - Ithan [1] You have my attention » Rhil - Beyond» Rhil TrasamPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Forum test RPS MER Ensembles
N’entre pas sans violence dans cette bonne nuit, Le vieil âge devrait brûler et s’emporter à la chute du jour ; Rager, s’enrager contre la mort de la que les hommes sages à leur fin sachent que l’obscur est mérité, Parce que leurs paroles n’ont fourché nul éclair ils N’entrent pas sans violence dans cette bonne hommes bons, passée la dernière vague, criant combien clairs Leurs actes frêles auraient pu danser en un verre baie Ragent, s’enragent contre la mort de la hommes violents qui prient et chantèrent le soleil en plein vol, Et apprenant, trop tard, qu’ils l’ont affligé dans sa course, N’entrent pas sans violence dans cette bonne hommes graves, près de mourir, qui voient de vue aveuglante Que leurs yeux aveugles pourraient briller comme météores et s’égayer, Ragent, s’enragent contre la mort de la toi, mon père, ici sur la triste élévation Maudis, bénis-moi à présent avec tes larmes violentes, je t’en prie. N’entre pas sans violence dans cette bonne nuit. Rage, enrage contre la mort de la lumière.
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Harry Potter 2005 ~¤~ Londres ~¤~ Chemin de Traverse Re Dans un coin sombreInvité, le Dim 7 Jan - 134 Hey c’est Jacquie. Oui encore moi. Je ne vous lâcherai pas d’une semelle. C’est ma vie qui est en jeu, j’ai donc le droit d’intervenir, de donner mon avis et d’avoir le dernier mot. Je ne suis pas là pour jouer avec toi, mais pour prendre de vraies décisions. Regarde le grandir, comme toi et moi. D’un petit enfant tout gentil, je suis devenu un adolescent à deux facettes. Le voici avec ses amis, ils ont des histoires, ils ont tout leur temps, pour toi. C’est vrai et faux en même temps. J’ai quelques personnes que je fréquente avec qui je parle souvent de mes problèmes, de ma vie. Mais les autres ne sont que des connaissances à mes yeux, ça ne va pas plus loin. Je ne vais pas discuter de mes idées suicidaires avec quelqu’un que je viens à peine de rencontrer. Enfin bref, je suis Jacquie, je ne suis plus seul dans ce coin sombre mais je suis toujours autant là cette petite fille perdue. Pourquoi vient-elle te déranger pendant que tu t’enfonces encore plus sur la route de la liberté ? Ne la laisse pas te distraire. Si tu veux aller mieux, il faut aller au bout de tes idées. La mort n’est pas une fin en soi. Elle est juste un moyen de repartir à zéro dans une autre vie, le tout sans avoir de soucis. Aller de l’avant, ne pas regarder derrière soi. En plus, elle veut partir à la recherche de la lumière avec toi. C’est une très mauvaise idée. C’est juste un prétexte pour que l’on puisse se sentir mieux. Mais cette lumière n’existe pas en fait. On s’accroche désespérément à quelque chose pour ne pas avouer que tout est fichu. Que la vie à quitter notre âme et seul notre coeur maintien notre corps meurtri en vie. Alors tu vas me faire le plaisir de mettre fin à cette discussion, et de t’enfoncer dans un nouveau coin sombre pour que personne ne puisse te déranger. Tu as une tâche à accomplir, fais le au plus vite. Pas de remords, pas de passé, juste un futur nouveau qui s’offre à toi. Hop hop hop. Attends deux minutes. Cette rencontre inattendue peut peut-être changer les choses et toi tu veux rester une nouvelle fois seul pour mourrir en paix ? Sauf qu’après la mort, il n’y a rien. Tu n’existeras plus, ton âme sera déconnecté. Toutes les personnes que tu aimes ne seront plus là. Elles vont pleurer ta mort et cela va sûrement leur faire plus de mal à eux qu’à toi. Voir les personnes qui te sont chers souffrir, c’est ça que tu veux ? Les obliger à accepter ton absence ? Je ne crois pas que ce soit la bonne solution. Cette jeune fille que tu as dérangés, et qui souhaite en plus rechercher la lumière, tu dois la suivre. Elle aussi à peut-être des problèmes. A deux vous êtes plus fort. Et puis ce n’est pas dans ton genre de refuser d’accompagner une jeune demoiselle. Tu verras, quand tu trouveras cette fameuse lumière, tes problèmes prendront une plus petite place dans ton esprit. Fais confiance à ton coeur et pas à ce démon débile qui veut juste que tu meurs. Il ne t’aide pas, il te corrompt. Ce n’est pas ton ami. Ok, me revoilà face à la réalité. Je suis là debout à côté de cette mystérieuse fille. Elle veut que je l’accompagne pour que l’on puisse réussir la quête de la recherche de cette fameuse lumière. Je ne sais pas si c’est une bonne idée. Pour commencer, je ne sais pas qui est cette personne, je ne sais rien d’elle. Comment est-elle arrivée là ? Même moi j’ignore comment j’ai pu atterrir ici. C’est peut-être un signe du destin. Ou alors une aide divine afin que je conserve ma vie. Je ne suis pas croyant, pourtant cette idée me trotte dans la tête. Sommes nous sur Terre pour accomplir quelque chose qui est déterminé dès notre naissance ? Ai-je une tâche à réaliser avant de mourir ? Mon heure n’est peut-être pas venu après tout. De plus, cette inconnue doit me prendre pour un dingue. Je mets énormément de temps pour lui répondre. Je n’ai même plus conscience du temps qui passe ni de l’environnement qui m’entoure. Je suis comme dans une bulle en suspension dans le vide. Il est temps de prendre une décision, et surtout la bonne. Jacquie ne sait pas trop quoi faire. Il tente à nouveau de cerner son interlocutrice mais rien à faire, tout est trop flou. Seule sa voix lui permet de comprendre qu’il s’agit d’une fille. Et puis elle parle d’un Xavier, des étoiles. L’adolescent ne comprend pas grand chose. Entend-elle aussi des voix dans sa tête ? Cette rencontre est des plus étrange. Mais la curiosité a toujours été une qualité ou un défaut selon le point de vue pour Jacquie. D’un mouvement de tête il essaya intérieurement de virer l’ange et le démon qui partagent son esprit afin d’essayer d’avoir les idées claires. Il inspira un grand coup et d’une voix pas vraiment rassuré, répondit Heu … Oui je veux bien chercher la lumière avec toi mais avant d’y aller, j’aimerai savoir où nous sommes. Comment t’appelles tu ? Pourquoi sommes nous ici ? » Gaëlle PanyellaSerdaigle Re Dans un coin sombreGaëlle Panyella, le Dim 14 Jan - 2158 Viens ! Toi, Mary ! Au pays des Schtroumpfs ! Des petits êtres bleus ! comme toi ! Oh. Mais c'est vrai ça. Je suis toute bleue. Mes mains, mon visage. Mes pieds et mes ongles. Mes cheveux aussi. Tout est devenu bleu. Chouette ! Je serais la plus bleue des bleue de l'univers ! Tout est merveilleux ont-ils promis. Je dis oui, une, deux, trois quatre cinq six sept huit neuf dix fois ! Enfin un endroit sympathique et simple à vivre. Il était temps ! Puis on me dit dans l'oreille qu'il existe un chemin. Peut-être qu'ils connaissent aussi la direction de la lumière. Peut-être qu'il faut les rencontrer pour la trouver ! Et en plus ce n'est pas loin. Que demande le peuple ? Rien de plus, rien de moins, nous sommes paré pour la grande aventure, même Bill est prêt, je ne vois pas comment tout ça aurait pu mal se finir. Vraiment pas. Il y a un grand ! un grand sage Schtroumpfement génialissime et le farceur, c'est Schtroumpf aussi ça le grognon sera un peu moins drôle, mais lui il y a moyen de faire quelque chose pour lui rendre le sourire, j'en suis certaine. Sûre certaine américaine Puis la belle Schtroumpfette fera tourner des coeurs ! Eh toi, la petite tête toute triste ! Qui sait ! Ah, qui sait hein ? Va ptet te rendre le sourire la jolie gamine !Ou alors le Schtroumpf bricoleur pourra nous réparer le coeur avec sa clef à molette, ça peut aider les clef à molettes, elles sont généralissime quand certaines choses vont malLe reste j'en parle pas, y'a assez de démons comme ça alors vaut mieux ne pas trop sombrer dans des pensées bourrée de négatif, j'ai autre chose à faire que pleurer. Comme, pleurer en fait. Puis c'est ce retour en enfance qu'il m'inspire, depuis les étoiles des Winx, comme si le fait de se sentir plus petit empêchait de s’apitoyer. À moins que ce soit son visage triste qui m'inspire une étincelle de peine. Parfois le malheur d'autrui empêche un peu de se sentir mal, comme si on en avait pas le droit alors que si mais le cerveau décide que non, et quand cet idiot décide quelque chose on sait très bien que c'est compliqué de lui sortir " nan mais en fait tu dis des bêtises " donc voilà il faut se taire et rester un être bleu bien comme il faut tu vois que t'es pas si bête ! Merci Stella c'est encourageant ça regarde l'être se dessiner devant moi de plus en plus précis, mes yeux s'accommodent au sombre des lieux et ça c'est plutôt chouette, comme une chouquette saperlipopette ! Et il pose des questions donc il faut répondre c'est la moindre de choses, puis je sais à quel point les pourquoi peuvent être tuant lorsqu'ils restent des réponses plus vagues que floues. Nous sommes dans l'espace évidemment parce que la Terre y est donc nous aussi c'est logique Je m'appelle Mary bon ça c'est pas compliqué mais il vaut mieux préciser mais derrière moi il y a Xavier, Stella, Sourire et Sun, je ne sais pas si tu sauras les voir mais au pire c'est pas grave, quant à la dernière question un jour on ne t'a pas demandé ton avis pour savoir si tu voulais exister ou non, et depuis ce jour tu existes, c'est pour ça qu'on est là et maintenant passons aux choses sérieuses !J'attrape sa main, allume le morceau de bois qui repose entre mes doigts libres puis commence à courir dans une direction qui me semble moins moche que les autres en déclarant que les Schtroumpfs m'ont dit qu'il fallait suivre le chemin pour aller chez eux, et la lumière elle est là-bas ! et du coup vu qu'ils l'ont dit, ça doit être la vérité, je vois pas pourquoi ils mentiraient de toute façon et maintenant que nous en sommes, et bien il faut retourner à la maison ce qui est logique ! Shae L. KeatsGryffondor Re Dans un coin sombreShae L. Keats, le Lun 19 Fév - 202 RP uniqueIl y a la nuit noire, les heures perdues entre Minuit et cinq heures, celles où tout peut arriver. On ne sait jamais vraiment ni où ni comment elles passent mais c'est celles que je chérie le plus, le trou de la nuit dans lequel on a pas besoin de se cacherles trois-quart d'heures de vie de pleursles seuls où l'âme se fait encore violence. J'suis à ma propre adrénaline dans les rues de la villeune fois passée l'heure du sais pas ce que je fais, ni pourquoi j'en suis mais j'erre dans Londres, entres les façades de pierres où le lierre meurt sous terre. J'ai une botte trop grande pour moi, trouvée dans la boite à trésors des trois balais, une autre à ma taille, plus banale qu'autre chose, y a le cliquetis de métal au poignet, une chaine trouvé dans une paire de gant à Aza ou à Pius, un bracelet de l'un ou l'autre dont aucun ne remarquera sûrement la disparition, j'ai besoin de morceaux de gens pour m'accompagner. Ça me rassure, ça fait du poids et le contour. J'ai les dessins de gosses et les phrases sur ma peau, celles faites pas un moldu sous emprise, pour qu'il imprime les souvenirs sur ma peau, ça fait un peu mal, mais contrairement à l'autre, ils sont indélébiles. Alors je claque les semelles sur les pavés, il pleut un peu, on se croirait au début d'un mauvais film d'épouvante. Je sais où je vais. Il y a quelques rues un orphelinat sorcier. Quelques semaines que l'idée germe déjà, j'ai besoin d'un motif de survie, et la pensée pour laquelle je me flagellerai plus tard qu'Enzo ne suffira pas, parce que si je disparais, le petit aura au moins une mère. J'ai besoin de quelqu'un qui ne dépend que de moi. D'offrir ce que mes bras ont à donnercréer au lieu de détruireet voir grandir. Quelqu'un qui n'aura pas mes gênes pour lui pourrir le monde. Alors j'ai réfléchi. Prendre un enfant qui n'a plus rien et lui offrir une vie. S'en offrir une aussi, une raison d'être, de faire et d'avancer, j'ai désespérément besoin de moi même. De lui ou d'elle. Alors la solution la plus simple, pour éviter l'enquête à mon compte, pour ne pas prendre l'enfant de quelqu'un. Pour arrêter de détruire en cherchant à créer, j'ai choisi un orphelinat simple, oublié. J'aurais pu choisir un moldu, mais ça aurait été tenir l'enfant écarté du monde qui était le mien, et je ne voulais plus avoir à me cacher, alors cracmol, je n'en avais que fairel'enfant ne manquerait à personne. La cape masque la forme de ce corps d'emprunt, je me suis j'ai musclé ma carrure, pris les traits d'un autre que nul ne reconnaîtrait. Pour plus de sécurité, les prétexte viendrait plus tard, petit neveu orphelin, cousin en vacances il me faudrait trouver, les procédures d'adoption n'ont pas l'air si conséquences viendraient plus observé le lieu ces derniers jours, je savais que l'homme sortait toujours à une certaine heure, pour fumer. Alors j'ai attendu, et cinq minutes plus tard, il était à mes côtés. Me faire passer pour et prétexter demander du feu pour m'approcher, et alors lancé le premier impero. Et faire mouche. Il ne lui fallut pas longtemps pour modifier le sort qui entourait l'enceinte et me laisser entrer. L'impression de déjà vu qui me renvoyait à une certaine porte a grincé comme une scie à métaux, je me suis quelques instants mais il n'y a eu aucun mouvement. Alors j'ai refermé derrière moi et je me suis à l'intérieur. Je suis arrivée dans les cuisines. Y avait une vieille odeur de friture, nous étions vendredi, repas de fêtes sûrement, le repas détente, celui où on lâche doucement la panse. J'ai senti les odeurs, ouvert les portes pour en trouver la sortie, à commencer par celle du cellier. Ce sont les odeurs de cannelles et de gingembres qui m'ont les premières. J'ai continué, sans poser mes mains nulle part, à fureter dans les recoins, à tout sentir, tout toucher, pour comprendre ce qui avait bien pu faire l'univers de l'enfant. Tout ce qu'il connaissait, ce qu'il savait. La dernière porte s'ouvrait sur un couloir. Une odeur d'humidité, légère, comme celles qu'on essaie de chasser, les derniers relans de nuit, les dernières gouttes d'huiles essentielles pour effacer la misère. Il y avait dû y en avoir des larmes dans ce couloir qui menait aux chambres et aux bureaux. Ils n'en chasseraient jamais l'humidité. Le carrelage ne faisait pas un bruit alors que je m'y avançais, toujours suivi par l'homme. Je passais devant les bureaux des surveillants, une fin filet de lumière qui filtrait sous la porte, j'informulais un Collaporta pour m'assurer qu'elle resterait en l'état. Et je continuais ma route. J'arrivais à l'étage des chambres. Je devais être dans le coin des petits, et ce serait plus simple ainsi, ne pas croiser le regard des plus grands et devoir leur expliquer qu'on ne peut pas les emmener. Comment choisir un enfant. Croiser les regards des petits, et devoir décider auquel donner une vie, auquel la refuser. Alors j'avais marché le long du couloir, jetant un œil sur les portes jusqu'à en trouver une sur laquelle il n'y avait qu'un nom, voilà qui m'empêcherait d'avoir à choisir entre deux enfants dormant côte à côtemon cœur fendue aurait penser aux deux. Oliver Smith ?11 mois. Je songeais un instant qu'il me faudrait le rebaptiser. Le nom me trottait déjà en tête, mais il s'apposerait plus tard. Je passais mon chemin, allait jusqu'au bureau de l'étage, pour que nul ne se doute qu'il y avait un soucis, pour que l'alarme se désactive. Je le trouvais comme prévu occupé, du moins c'est ce que m'appris le mince filet de lumière qui filtrait sous la porte. Alors m'appuyant contre elle, j'attrapais ma baguette, et tentant de conserver mon calme, je soufflais quelques secondes avant de faire pivoter brusquement la porte pour me trouver nez-à-nez avec une pièce vide. Je comprenais alors que l'homme a mes côtés était le responsable de l'étage, ce qui me simplifiait la tâcheJe n'aimais pas l'imperopriver les gens de leur contrôle. Mais le cas l' me suivant docilement, il m'accompagna jusqu'au chevet de l'enfant. Il ne dormait pas. Il nous regardait avec de grands yeux bien éveillés, et je compris alors que, je n'aurais jamais pu faire un choix si tous les enfants m'avaient ainsi. Alors j'ai rendu la main et je l'ai laissé attraper mon doigt. Le sentir, le mordiller, je l'ai laissé appréhender. Il lui faudrait vouloir de moi autant que je voudrais de lui. Et contre toute attentejusqu'à en faire trembler mes jambesil a souri. Je l'ai pris dans mes bras. Doucement, la peur absolu de le casser tant il paraissait fragile. J'avais peur de tout ce qui pourrait lui arriver désormais. Sa tête avait l'odeur si significative qu'on celle des bébés. Un mélange de crème et de fleur d'oranger. J'aurais pu passer des heures ainsi, mais le temps pressait. Nous sommes sortis de la chambre, et je suis en face de l'homme qui se tenait à mes ordres. Le sort durerait quelques temps, mais je n'avais qu'un ordre pour lui, je ne renouvellerais jamais mon emprise sur lui. Dites-leur qu'il y a eu une erreur, que l'enfant avait encore un parent. Qu'ils sont venus le chercher. Falsifiez les documents nécessaires. Je ne veux pas qu'on nous retrouve. Et en le remerciant je m'enfonçais dans le couloir. Transplaner ici me serait impossible, bâtiment sécurisé, sans l'être au fond, les alarmes nocturnes sur les chambres plutôt que sur le bâtiment pour qu'elles ne se déclenchent pas au cours des allées et venues diurnes. Je passais discrètement devant les bureaux du bas lorsque la porte s'agita sous l'emprise d'une main alors qu'une exclamation d'incompréhension semblait s'élever de l'autre côté. Il faudrait peu de temps pour qu'ils sortent d'ici, alors sans demander mon reste, je disparaissais, repassait rapidement par la cuisine et la porte de sortie que je verrouillai derrière moi, nous rendant, l'enfant et moi, aux caprices de la nuit. Et pour brouiller les pistes je m'éloigner de quelques pas avant de, le serrant contre moi, disparaître dans un Crac. Ce soir le Shae que la vie avait gravé sur mes osSe voyait rejoint d'un autre nom De sept lettres, jeté en pâture dans la nuit dans un édition par Shae L. Keats le Dim 11 Nov - 1431, édité 1 fois Hillarius LudwigSerdaigle Un trou dans la CoqueHillarius Ludwig, le Dim 4 Mar - 2018 *RP avec Kalèn Bloom*Quelle agitation ! Quelle foule ! Ca parlait anglais de partout ! Tout allait si vite depuis son arrivée à Londres. A peine le temps d'avoir dit au revoir à sa tante de Wetherby, qu'il était arrivé, accompagné de son père Maximus et de son frère Ballio, dans une rue bondée qu'il ne connaissait pas. En tout cas ça sentait rudement bon la foule.*Bienvenue au Chemin de Traverse, les garçons ! *Leur père leur parlait encore français quelques fois. C'était sa manière à lui de les rien dire, Hillarius lâcha le bras de son père et accéléra le pas.*Je veux un chat, Papa ! Un chat tout blanc ! *Maximus soupira. Son fils ne tenait pas en place. Entendant les appels de son père derrière, lui le gamin, passa rapidement entre les robes et les vestes, se faufilant un chemin dans un bruissement de tissu. Il s'abandonnait à l'inconnu, et faisant cela il savait pertinemment que son père allait le perdre, soupirer, puis se fâcher un peu peut être. Mais surtout il allait être inquiet. Peu importe pour l'instant, il se sentait libre, décollé de son frère ennuyeux et bougon. C'est comme si une grande porte immense venait de s'ouvrir. Il chercha des yeux ce dont il aurait besoin... Une baguette?Des livres? Hillarius recula pour essayer de lire les grandes devantures, trop hautes pour lui. Mais son attention fut détournée par le miaulement d'un chat gris derrière une vitrine de magasin juste derrière sa petite tomba en admiration devant le petit animal poilu et resta un instant à lui parler tout bas quand soudain, une main froide se posa sur sa nuque. Il se retourna en sursaut, ses grands yeux ouvert. Ballio !*C'est pas drôle, Hilly. C'est vraiment pas drôle. La prochaine fois je te laisserais te perdre tout seul. Et ni Papa, ni moi on viendra te récupérer, t'as compris?*Hillarius fit mine de l'écouter une seconde, puis son regard dévia sur autre chose qu'il semblait suivre des yeux avec intérêt.*Dis, tu m'écoute?!*Le jeune sorcier redescendit lentement les yeux sur son frère, et à son grand sourire gribouillé sur sa tête pâle, Ballio compris qu'il se fichait de sa tête en faisant mine de l'ignorer.*T'es vraiment un abruti. Maman aurait honte de toi.*Le sourire d'Hillarius s'évanouit. A la place, une expression innocente s'afficha sur son visage.*Maman? Mais elle est partie Maman. Elle nous a laissé avec Papa parce qu'elle s'en fiche de nous. Non? Et tu le sais très bien. Je suis petit mais je suis pas idiot, tu sais.*Grand sourire de nouveau. Comme s'il venait de commenter la couleur de son baffe. Une joue toute rouge. Hillarius frotta sa joue avec étonnement.*Les enfants ! Ah, les garçons vous êtes là. Hilly...* Le père s'arrêta un instant puis s'agenouilla. Il posa la main sur la joue de son fils, l'embrassa, puis lança un regard sévère à Ballio. Celui-ci maintint son regard fiché dans celui de son père. Le garçon avait les yeux de sa mère. Et le même regard sombre.*Ballio, arrête*Il se releva*Ne me regarde pas comme ça*Sans un mot, Ballio se rapprocha de son père, prêt à reprendre sagement la route.*Pardon*Ils restèrent tous les trois au milieu de la Rue un instant. Sans rien dire. Hillarius regardait son père, presque avec tristesse, balançant son bras, en attente qu'il dise quelque chose. C'était la première fois que celui semblait réellement désarmé. Encore quelques secondes lourdes. Puis tout d'un coup son visage s'alluma de nouveau, presque mécaniquement lorsqu'il aperçut dans la foule une jeune femme. Apparemment il la connaissait. L'homme s'activa de nouveau pour aller lui parler, invitant ses fils à le suivre. Hillarius lança un regard vide mais que Ballio savait chargé de ressentiment, vers son frère. Puis les garçon suivirent leur géniteur pour aller à la rencontre de cette inconnue. Invité Re Dans un coin sombreInvité, le Lun 5 Mar - 2002 Une paupière se soulevant doucement, libérant la candeur de l'iris bleuté, encore voilé par le sommeil. Kalén se retourna sous ses draps, enfouissant sa chevelure bouclée sous les oreillers, masquant son visage de son éclat cuivré. C'était son jour de congé aujourd'hui. Son travail au Ministère occupait la quasi totalité de son temps, et, généralement, elle profitait de son jour de libre pour faire une bonne grasse pas aujourd'hui. Elle s'était forcée à mettre un réveil pour profiter des ses quelques heures de liberté, censées s'égrainer au Chemin de Traverse. Délaissant à regret son lit beaucoup trop chaud pour être ainsi abandonné, elle appela à elle une robe propre, sortie tout droit de son placard. Le vêtement la suivit dans la salle de bain en lévitant tranquillement derrière elle et, quelques minutes plus tard, Kalén en ressortait, ou deux coups de baguette, une tasse de thé et une grande cape sombre jetée sur ses épaules plus tard, elle sortit sur le pas de sa porte, ignorant la barque pour lui préférer un transplanage efficace. La chaleur du Nest allait lui manquer ce matin, mais elle serait rapidement de retour avec ses le mois d'août annonçait un Chemin de Traverse plein à craquer de jeunes Poudlariens avides de fournitures scolaires, et elle tremblait déjà d'effroi à l'idée des magasins bondés de gamins criards et mal élevés. Poussant un léger soupir, elle pivota sur elle-même et disparut dans un craquement, en direction du Chaudron Baveur.*L'ambiance du pub changeait de l'atmosphère venteuse du Pays de Galle. A cette heure déjà, de multiples sorciers et sorcière se pressaient au bar, discutant et riant autour de pintes remplies à ras bord. Saluant d'un signe de tête les deux ou trois sorciers qu'elle reconnaissait parmi la foule, elle se dirigea vers l'arrière cour et ouvrit le passage vers la rue elle le craignait, l'endroit était bondé. Réprimant un nouveau soupir, elle entreprit de se faufiler dans cette masse grouillante. Passer à la BAM d'abord. Une fois le Niffleur acheté, elle pourrait rapidement s'isoler dans la tranquillité de l'Allée des Embrumes. Il faudrait se rendre chez Barjow & Beurk, pour un achat, certes, mais Kalén avait aussi envie de revoir Aya. Depuis leur dernière rencontre au Chaudron Baveur, elles n'avaient pas encore eu l'occasion de se recroiser. Ignorant les enfants pressés devant la somptueuse vitrine des Halles Magiques, admirant les balais et autres accessoires de Quidditch entreposés dedans, elle allait pénétrer dans la Boutique d'Animaux, lorsqu'une voix l'interpella. Tournant la tête avec curiosité, Kalén aperçut un visage émerger de la foule, un visage tout droit sorti des tréfonds de son passé."Maximus Ludwig ! Toi ici, ça c'est une surprise ! Comment vas-tu depuis le temps ?"Maximus avait été un jeune ami de son père, alors que ce-dernier enseignait encore la Métamorphose à Beauxbatons. Elle se souvenait de lui, alors qu'il n'était encore qu'un jeune adulte, et qu'elle-même n'était que petite fille. C'était une étrange réminiscence que de le retrouver là, à Londres, en train de faire ses emplettes au Chemin de Traverse. Derrière lui, deux silhouettes se découpaient dans son ombre, un adolescent grognon que Kalén salua d'un signe de tête et d'un sourire poli, et un plus jeune garçon à l'allure candide et aux vêtements trop grands."Bonjour toi, fit-elle avec un sourire espiègle et un air pétillant dans les yeux. Laisse-moi deviner, tu entres à Poudlard cette année ! Je me trompe ?" Hillarius LudwigSerdaigle Re Dans un coin sombreHillarius Ludwig, le Lun 5 Mar - 2152 "Ca.. Ca va très bien et toi? Effectivement ça fait... très longtemps, c'est le moins que l'on puisse dire. Qu'est-ce que tu devient? Depuis tout ce temps?" Hillarius leva les yeux sur cette jolie femme aux boucles brunes. En la voyant s'avancer vers eux et commencer à discuter avec son père, il sortit distraitement de sa grande poche une petite boîte à biscuits en fer. Il n'écoutait plus trop ce qui se disait, il attendit simplement que les deux adultes finissent de parler d'eux, et viennent lui parler à lui. Il savait que son père n'allait pas tarder à le présenter, il fit juste mine de ne pas faire attention, de jouer l'étourdi. De préparer le terrain. En ouvrant la boîte toute grise argentée, il prit une fine galette au sésame qu'il fit craquer d'un coup entre ses dents, les yeux dans le vide. Puis tout d'un coup il entendit son nom et leva de nouveau la tête, écarquillant les yeux. "Hillarius, " fit son père, "Tu es toujours là? On te parle, mon grand !" La dame le regardait en souriant, ses yeux bleus fixés sur lui en attente d'une réponse. Le jeune sorcier déglutit et ne sachant que répondre, tendit rapidement sa boite en fer, presque sur la pointe des pieds, vers l'inconnue en lançant du tac au tac, "Bonjour Madame, je m'appelle Hillarius. Vous voulez un gâteau? C'est mon Papa qui les fait !"Le coup du biscuit gratuit, ça marche toujours pour faire bonne impression devant les adultes. Et il voulait donner bonne impression. Derrière, il sentit le regard noir de Ballio fixé dans son dos. Mais peu importe. Il se fichait pas mal que son frère reste en retrait tout le temps face aux autres. C'était à lui qu'on avait adressé la parole, pas à Ballio. Et ce, pour une raison très simple. Il avait toujours moins séduit que son cadet. Moins bavard, moins extraverti. Et Hillarius comptait bien en profiter. Ballio leva les yeux au ciel, irrité de cette mise en scène. Il connaissait bien son frère et savait bien que tout ce jeu n'était là que pour s'attirer les faveurs de tout le monde. Il regarda son père réagir. Celui passa une main dans ses longs cheveux blonds, aussi mal peignés que ceux de son plus jeune fils, l'air gêné et amusé. "Excuse mon fiston, Kalèn. Il est un peu tête en l'air. Pas vrai?" Dit-il en lui jetant un regard qui se voulait faussement sévère. "J'espère que tu seras plus concentré pendant tes cours, mon grand" Puis il se tourna vers Ballio. Et d'un ton moins léger lui lança "Mais lui au moins, il dit bonjour.."Ballio resta immobile un petit moment, légèrement crispé. Puis il s'avança d'un demi-pas en hochant la tête. Hillarius pouvait remarquer que ses mains dans son dos s'agitaient l'une contre l'autre, signe récurrent que son aîné allait faire quelque chose qu'il détestait faire être poli. Il lâcha, un court. "Bonjour."Maximus lâcha un soupir. Puis regarda Kalèn avec ce sourire à bascule, gêné, qu'elle connaissait si bien. Celui que, même jeune, il avait en s'excusant de tout et de rien. "On allait... justement acheter une baguette pour mes fils. Et toi? Qu'Est-ce qui t'amène par ici?" Invité Re Dans un coin sombreInvité, le Sam 10 Mar - 231 "Eh bien, après Poudlard j'ai intégré l'Ecole des Aurors. Depuis un an je travaille au Département de la Justice Magique de Londres, au Bureau des Aurors. Je dois dire que c'est un travail très prenant, mais qui me laisse un peu de temps pour m'adonner à des recherches sur l'image animée. J'ai acheté une maison au Pays de Galles, près de celle de papa. Là j'ai pu y aménager un coin entièrement dédié à l'enchantement d'appareils de projection moldus. Et toi ? Que fais-tu à Londres ? Je te pensais encore en France !"Le jeune garçon à qui elle s'était adressée semblait perdu dans ses pensées. Lorsque son père l'en sortit, il sembla sortir tout droit d'un rêve, et brandit la boite en fer qu'il tenait dans ses mains, avec une spontanéité qui arracha à Kalén un grand rire franc qu'elle jeta dans le brouhaha déjà conséquent de l'Allée. Le petit était une belle allégorie de la douce naïveté de l'enfance, ses boucles blondes lançant des reflets à la ronde, et quelques graines de sésame encore collées à ses babines. Approchant sa main de la boite tendue, elle se saisit d'un biscuit et croqua allégrement dedans."Mmmh ! C'est délicieux Hillarius, tes biscuits sont très bons, et ton Papa très doué !"Elle adressa un grand sourire à Maximus, et avala sa bouchée avant de répondre à Maximus."Oh, ne t'en fais pas, tu sais que j'étais un peu pareil quand j'étais petite, fit-elle en adressant un clin d’œil au blondinet. Alors, c'est la grande rentrée cette année ?"Elle se pencha soudainement vers l'enfant, et ancra ses deux prunelles gelés dans ses iris d'améthyste."Tu sais qu'on raconte qu'un monstre géant hante les sous-sols du château ? Personne ne l'a aperçu depuis cent ans, mais certains élèves racontaient l'entendre dans leur sommeil..." murmura-t-elle, le visage figé, la bouche entr'ouverte, lui laissant clairement admirer l'air dément qu'elle affichait à aussi soudainement qu'elle s'était courbée dans sa direction, elle se redressa et reprit d'un ton parfaitement normal."Tu as déjà une idée de la maison dans laquelle tu te retrouveras ?"Alors qu'elle parlait au petit Hillarius, l'autre jeune homme venait de s'avancer pour la saluer. Laissant ses lèvres s'étirer en un sourire pétillant, qui laissait sa fossette se fendre au coin de sa bouche, elle le regarda, ses yeux brillant comme glace fondant au soleil."Bonjour Ballio, tu entres aussi à Poudlard ? Ça va, pas trop d'appréhension pour la répartition ?"Elle laissa ses iris posées encore un moment sur le garçon, détaillant sa silhouette maussade, son allure et ses traits. Il ne ressemblait pas beaucoup à son petit frère, les deux étaient très différents... mais respiraient chacun une singularité intéressante. Laissant de nouveau son attention se focaliser sur Maximus, elle ouvrit la bouche."Ah ! La baguette est un achat formidable. Profites-en, fit-elle à l'adresse du Petit Garçon Sésame, la première rencontre avec ta baguette est un moment unique que l'on vit pas une deuxième fois. La sensation est incroyable !"Puis elle désigna la Boutique d'Animaux Magiques d'un petit signe de tête."Oh, il fallait que je passe à la BAM pour m'acheter un Niffleur. Cela fait longtemps que je rêve d'un animal de compagnie affectueux, et Lyra, ma chevêche commence à se faire vieille. Je l'ai acheté juste avant de rentrer en Première Année, tu devrais y songer, ajouta-t-elle pour Hillarius. C'est très pratique d'avoir sa propre chouette pour envoyer du courrier."Baissant légèrement la voix, elle reprit à l'adresse de son père."Je dois aussi aller chez Barjow et Beurk pour un... achat professionnel, mais j'imagine que tu n'y passeras pas ?" Hillarius LudwigSerdaigle Re Dans un coin sombreHillarius Ludwig, le Sam 10 Mar - 1815 Mais c'est super ! J'en connais un que ça intéresserait sacrément. Il est féru de cinéma tu sais? Et puis moi... Je trouve ça super aussi que tu te lance là dedans. L'art moldu.. Un vaste sujet... et passionnant en plus de cela ! Quand à notre situation, et bien.. C'est un peu plus compliqué. On est arrivé depuis très peu de temps à Londres, avec les garçons, tu sais... Un soucis de famille. Un peu long à raconter. Enfin, bref, on est... très heureux d'être là. On va pouvoir s'installer chacun tranquillement dans nos petits nids. Et moi... Et bien, toujours le nez dans mes livres, figure toi. J'ai réussi à en éditer déjà un ou deux tu sais ! Disons que... je fais ce que je peux. mais j'ai été obligé de postuler pour un emploi au ministère. Seul, il faut que j'assure les frais de scolarité et tout ce qui va avec, du mieux possible... Mais ça va n'avais pas écouté. Tout ça, je le savais déjà. Mon père, qui allait encore dire que tout allait bien, qu'il ne se faisait pas de soucis. C'était faux. Lui, n'allait pas bien. Et il se faisait beaucoup de soucis pour nous. Il se démenait pour nous faire reprendre une vie normale, essayant d'effacer l'ardoise, la peur au ventre que Maman revienne nous chercher. Ce bloc de pierre glacée, mat blanc et âpre qu'était ma mère. Je ne voulais plus la revoir. Ni en entendre parler. Elle rendait déjà bien assez triste mon Papa. Après ces discussion de grands finies, Kalèn accepta mon offrande avec beaucoup d'amusement. Mon sourire s'écarta encore plus, les zygomatiques tendues."Alors, c'est la grande rentrée cette année ?""OUI ! Je vais aller à l'école ! Je suis trop content je vais pouvoir enfin faire de la magie et rencontrer plein de..."A peine ma phrase terminée que la dame au regard étrange s'était penché sur moi brusquement, une expression bizarre aux lèvres."Tu sais qu'on raconte qu'un monstre géant hante les sous-sols du château ? Personne ne l'a aperçu depuis cent ans, mais certains élèves racontaient l'entendre dans leur sommeil..."Elle m'avait coupé en plein élan. Je sentis sur mon visage le sourire tomber d'un coup. Heeeeuu... Quoi? Un monstre ?! Comment ça, un monstre? Comme dans les livres de Papa? L'histoire de la Chambre des Secrets, le Basilic, les tantaculas Géantes? Et qu'est ce que c'était que ce regard? Je me sentais traversé par ces yeux bleus fixés dans les miens. Ils me.. désarmais et me fascinais en même temps. Quelque chose de fou. Et de légèrement inquiétant. Tout aussi brusquement, la dame se releva et me posa une autre question sur un ton revenant bien plus naturel et bienveillant. L'étrange lueur de ses iris avait disparu."Tu as déjà une idée de la maison dans laquelle tu te retrouveras ?""Haha.. heu.. n-n-non ! En fait je sais pas trop. Heu... Je-je veux dire.. "Vite ! Trouver une réponse plaisante ! Amusante ! Il se sentait à découvert... désarmé? Non ! Pas désarmé. De toute façon ça n'existait pas ce qu'elle racontait. Encore des salades d'adulte, ces histoires de monstres... Hein? Ne pas y penser. Répondre ! Tout le monde te regarde !"J'aimerai bien heu... heu.. Serddo.. heu.. Serpentouffle ? "Sans réfléchir, il lançait ça, les lèvres tremblantes. *Arrête ! Les lèvres. Stop.* Elles s'arrêtèrent immédiatement. Je repris ma respiration. Mes yeux grand ouvert. Le sourire. Bien. Avec un peu de chance, sa frayeur passagère n'aura pas trop transparu. Même question pour Ballio. Celui-ci n'hésita pourtant pas une seconde."Serpentard."Bravo, merci pour cette intervention monsieur Ballio Ludwig. Vous n'auriez pas pu être plus loquace que ça. Magnifique ça pour faire plaisir à Maman. Mais qu'est ce qu'il lui trouvait à Maman, bon sang? Il pensait vraiment qu'elle allait revenir, nous prendre dans ses bras, nous dire tout bas "Vous m'avez manqué, les enfants"? Mais non ! Jamais de la vie."Ah ! La baguette est un achat formidable. Profites-en, la première rencontre avec ta baguette est un moment unique que l'on vit pas une deuxième fois. La sensation est incroyable !"C'est vrai? Je ne pouvais plus attendre, je trépignais d'impatience à l'idée d'en avoir une, de faire flotter ce que je voulais dans les airs, de lancer des Rictusempra sur mon frère, et.. Bon, d'accord. C'était peut être un peu méchant, mais c'est vrai qu'il m'agaçait en ce moment. Toujours ce regard noir. Qu'il sourit bon sang ! Ou alors qu'il se cache et qu'il se taise ! Chaque rare mot qu'il prononçait était acide...Puis Kalèn évoqua la Boutique d'Animaux Magique. Déjà dans ma tête se rallumait un feu d'artifice. J'oublia d'un coup toutes mes préoccupations futiles. Oui ! Oui, oui et OUI ! Moi aussi je voulais y aller !"Papa, papa, papa, papa !! Il faut qu'on aille à la boutique avec les animaux ! Y en a plein qui sont trop mignons je suis sûr. Madame, Madame ! On peut venir avec vous s'il te plait? S'il te plaaîît...""On va voir, attends... " me répondit mon père en essayant de me tempérer. Puis il se tourna vers Kalèn. "L'allée des embrumes... Je vois. Quel genre d'achat? Oh, non désolé, ça.. ça ne me regarde pas trop. Mais tu me connais. Ce n'est toujours pas le genre d'endroit que j'aime fréquenter... Surtout avec les enfants. "Ah bon? Qu'est ce que c'était que ça? L'allée des embrumes? Autant poser la question."C'est quoi l'allée des embrumes, Madame?" Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Dim 6 Mai - 2322 Bientôt deux mois sans réponse et après une message privée sans réponse aussi, je me permets donc d'entamer mon Rp. Pv Mangemort 67. Trois années plus tôt. Le soleil s’était replié depuis plusieurs heures maintenant, laissant la noirceur inquiétante de la nuit se répandre dans les rues du chemin de Traverse. Un vent hivernal soufflait dans les ruelles étroites, depuis bien longtemps désertées par les passants. Le chemin de Traverse, vivant et animé la journée, perdait de sa splendeur une fois la nuit tombée. Les récentes attaques des Mangemorts n’avaient fait qu’encourager les sorciers à rester cloitrer chez eux, de peur d’un croiser un et de subir ses jeux de douleurs. Et on criait au scandale, contre le Ministère de la Magie, soit disant incapable de les attraper. Si seulement la population du monde magique savait le nombres d'heures que faisaient les Aurors pour essayer de les trouver. Mais comme des rats, les mages noirs réussissaient toujours à s'échapper. Seul, une écharpe autour du cou, l’Auror avançait dans l’obscurité, ses yeux l’égerment plissés à cause du vent. De la buée s’échappait à chacune de ses respirations et ses mains, emmitouflées dans d’épais gants en cuir noir, ne cessaient de trembler. Il s'était habillé rapidement, enfilant un jean et un pull en laine aux couleurs de sa maison. un accoutrement pas assez réchauffant contre les rafales de vent qui hurlaient dans la ruelle. Un accoutrement bien étrange pour un sorcier faisant parti de l'élite du Ministère de la Magie. L'américain avait essayé de s'allumer une clope, sans succès. Maudit climat anglais. Dans la ville de ses parents, il faisait bien meilleur. Cela faisait bientôt une vingtaine de minutes qu’il marchait dans les ruelles étroites parallèles au chemin de Traverse. Vingt minutes. Vingt minutes avant, il se trouvait tranquillement assis dans son canapé un livre dans les mains, un feu dans la cheminée et une tasse brulante de café sur sa table de basse. Le sorcier attendait impatiemment l’arrivée de sa douce, qui ne devait plus tarder à rentrer de son travail au Ministère. Mais la seule chose qui arriva, fût la stridente sonnerie de son téléphone portable qui brisa le silence de son douillet cocon. Une belle invention moldue, quoi que, des fois un peu trop bruyante. Matt avait du grommeler et soupirer quelques instants avant de se décider à répondre. Un numéro masqué. Que voulait-on lui vendre à une heure pareille ? Par la Barbe de Merlin, si c’était encore pour un aspirateur, il allait devenir fou ! Non, cette fois là, se ne fut pas pour un aspirateur. Une voix aigue, tremblante, empreint de panique lui demanda le rejoindre rapidement sur le chemin de Traverse. Une information importante à lui divulguer. Une information sur les ennemis du Ministère, des Aurors, les Mangemorts. Cette voix, l’américain la reconnue aisément, comme appartenant à l’un de ses indics. Un sorcier de bas étage au penchant très prononcé pour la magie noire. Sans plus attendre, l’Auror gribouilla un mot d’excuse sur une post-it pour sa douce, qu’il laissa sur la table du salon, avant de s’envoler dans un nuage de fumée dorée. Trouver une femme qui acceptait les contraintes de son travail n’avait pas été chose aisé pour le sorcier. Par chance, le destin l’avait jeté dans les bras d’une sorcière au cœur en or. Ainsi fût la raison de la présence de Matt Austin, Auror au Ministère de la Magie, dans une ruelle sombre du chemin de Traverse durant une longue et froide nuit d’hiver. Grommelant et soupirant, recherchant un indic et poursuivant sa chasse aux mages noirs. Une nuit qui le laissera à jamais marqué. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Sam 12 Mai - 2118 À cette époque, je ne suis pas encore le Seigneur des TénèbresOh oui, je l'ai eu cette marque sombre qui m'enverrait directement à Azkaban. Depuis que je l'ai, j'ai ce sentiment de folie qui m'habite, toujours été présent mais enfoui attendant d'être réveillé et son heure est arrivé ! Oh oui, je le sens bouillonner et je n'en trouve plus le sommeil, trop agité parce qu'à présent je suis un Mangemort. Quoi de mieux que d'aller se dépenser dans les ruelles, surtout que j'ai une idée derrière la tête. Parce que porter le masque me permet d'apprendre beaucoup de choses. Le flux d'informations depuis que j'avais rejoint l'Ordre Noir ne semblait plus s'arrêter en apprenant chaque fois un petit peu plus sur chacune des personnes de la communauté magique. Inconnus et connus pensaient que leurs petits secrets ne sortiraient jamais mais il fallait compter les mages noirs dans cette équation et il semblait bien que nous étions plutôt doués pour écouter aux il fallait croire que c'était mon jour de chance lorsque j'appris que notre chère et puissante 70 fréquentait un Auror. Pourquoi ne pas parcourir la nuit à sa recherche ? Après tout, l'élite ministérielle nous cherche également alors peut-être qu'avec un peu de chance. Dans tous les cas, me dépenser me ferait du bien. J'en suis certain. Robe noire et masque ainsi que la baguette, tout était prêt pour une des premières sorties après avoir reçu la marque. Peut-être était-ce un peu présomptueux de ma part que de sortir seul mais je me sentais l'âme d'un lion qui dévorerait tout sur son froid hivernal se glissait là où il pouvait et me refroidissait petit à petit même si je marchais d'un pas vite. Regardant autour de moi, arme en main, action-réaction dès que possible. Mais rien, ce que c'était décevant. Et puis, au bout de longues demi-heures, voilà qu'une silhouette attire mon regard. À croire que c'est la seule personne aux alentours, le froid a eu raison des promeneurs nocturnes mais pas celui-ci, il regretterait d'avoir mis le nez dehors celui-là. - Bonsoir, une envie de se promener sous étoiles londoniennes ? Pourtant, difficile de distinguer quoique ce soit....Baguette visible, je voulais être certain que l'inconnu sache qu'il ne fallait pas prendre à la légère s'il décidait de s'en prendre à moi. Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Sam 12 Mai - 2334 Voilà maintenant une bonne vingtaine de minutes que Matt recherchait l’indic l’ayant contacté, mais il ne semblait n’y avoir aucune trace de lui. Même si le fait de marcher le réchauffait un peu, ses jambes lui paraissaient lourdes et engourdis à cause du froid. L’américain souffla dans ses mains pour les réchauffer tandis qu’il grommela et pestait de tourner en rond. Il aurait mieux fait de rester au chez lui au chaud devant sa cheminée. Le sorcier nota pour lui même dans son esprit ne pas sortir une nuit d’hiver sur le chemin de Traverse. Ou sortir avec quatre mentaux, trois pulls et cinq paires de chaussettes. Le sorcier jeta un regard à sa montre au bracelet en cuir marron. Axelle était surement déjà arrivée chez lui. La pauvre, elle devait pester comme un diable. Encore une dizaine de minutes puis il s’en irait de cette épouvantable endroit. De toute manière, si il ne partait pas, il allait finir par ne plus pouvoir bouger, figé par les rafales glaciales. Puis même si elle lui faisait la tête, savoir que sa douce se trouvait chez lui, lui réchauffait le cœur. Un dernier petit tour du chemin et ensuite, un transplanage tout droit à Russell Street. Des pensées heureuses en tête, l’américain continua sa marche sur le Chemin de Traverse. Englobé par la nuit de toute par, il n’arrivait pas à distinguer les formes à plus d’une dizaine de mètres. Dix minutes passèrent et l’Auror n’avait toujours aucun signe de son indic. Il n’avait même vu aucun signe du moindre être vivant sur le chemin. Matt soupira et haussa les épaules. Il était temps pour lui de rentrer. Tout en marchant, le sorcier se décida tout de même à regarder une dernière fois sa montre. Il ne remarqua pas l’individu qui venait de sortir de l’ombre, face à lui. Ce fût la voix de l’individu qui le força à lever le nez de sa montre. Bonsoir, une envie de se promener sous étoiles londoniennes ? Pourtant, difficile de distinguer quoique ce soit.... » L’américain releva doucement la tête et fixa l’individu face à lui. Il eu aucun mal à reconnaître un adorateur des mages noirs. Après tout, ils avaient tous ce stupide masque sur la tête. Le Mangemort face à lui tenait sa baguette de manière à ce qu’elle soit des plus visibles, prêt à en découdre avec le premier venu. Manque de chance pour lui, le premier venu n’était d’autre qu’un Auror. Un Auror qui ne comptait pas fuir en hurlant de terreur. Un sourire narquois apparu alors sur les lèvres du sorcier américain tandis qu’il releva légèrement son pull pour laisser apparaître sa plaque dorée d’Auror attachée à la ceinture de son jean. - J’ai pas beaucoup de temps pour faire mumuse avec toi le masqué, une compagnie bien plus agréable m’attend. L’Auror attrapa sa baguette qui se trouvait dans son dos et la pointa en direction du Mangemort. Tu ne m’en voudras pas si je ne te déclare pas tes droits ? Je te les dirais quand tu seras bien au chaud au fond de la cellule du Ministère de la Magie. Sans attendre de réponse de la part du mage noir, Matt formula un Aresto Momunto. Espérant que son adverse se retrouve suffisamment ralenti par son premier sortilège, le sorcier américain formula ensuite un Petrificus Totalus, dont le rayon de couleur fonça droit sur le sorcier masqué. Après tout, la capture du Mangemort restait la priorité. Sa mort n’intervenant seulement si Matt s’en retrouvait forcé par la suite des événements. L’Auror ne prit pas le temps d’appeler ses collègues à la rescousse, se jugeant suffisant pour procéder à l’arrestation d’un Mangemort. Après tout, il avait combattu de nombreuses fois et il devait être en capacité de se défaire d’un mage noir. Confiant, baguette en main, ses pensées étaient tournées vers son affrontement. Ps Mangemort 67, je t'accorde mon LA si tu en as besoin. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Dim 13 Mai - 923 La réponse de l'inconnu fut non-verbale... Heureusement que je portais un masque, car la surprise de tomber sur un Auror aussi rapidement me fit écarquiller les yeux. Quelle joie ! Au moins, j'étais certain de bien pouvoir m' Je pense surtout que je serai bien au chaud à Hollow après m'être occupé de toi, je pense que ma Maîtresse sera ravi que je me sois débarrassé de toi Répondis-je à ses vaines menaces. Je ne comptais pas appeler d'autres masqués, si cela se passait mal, ma marque me serait utile mais tant que je pensais pouvoir prendre le dessus. Hors de question de partager mon jouet !Alors que je m'apprêtais à réagir à sa première attaque rien ne vient ou du moins rien comme il faut, un léger ralenti d'une micro seconde que je n'avais pu remarquer que parce que j'avais voulu bouger ma baguette puis une esquive en faisant un grand pas sur la Il faut prononcer correctement les formules mon cher, sinon tu vas me faciliter la tâche et je risque de m'ennuyer. Circumglacie ! Baguette pointée dans la direction du cette température le sol devait bien être gelé par endroit, j'avais conscience que ce ne serait pas si efficace que si je m'étais assuré que la glace recouvre le sol mais j'avais une autre idée derrière la tête. Pendant que les pics mortels de glace sortait des amas de neige, j'informulai un Ango Nubes prêt à étouffer mon adversaire. Soit il mourrait en manque d'oxygène, soit il risquait de se transformer en passoire en tentant de sortir de ce nuage asphyxiant. Amusons-nous très cher, je sens que je vais pouvoir me défouler face à un adversaire expérimenté ! Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Dim 13 Mai - 1339 Était-ce l’excitation du combat qui l’avait fait prononcer trop vite son premier sortilège ? Matt ne s’en y préoccupa pas très longtemps. Au milieu d’un combat, la moindre inattention pouvait couter très cher. L’Auror regard le Mangemort sauter sur le côté pour éviter son sortilège de pétrification. Le mage noir se releva vite pour contre attaquer. Il visa le sol gelé par le froid du Chemin de Traverse et des pics de glace sortirent du sol pour converger vers le sorcier américain. Son cerveau réfléchissant à toute allure pour savoir comment s’en sortir, le Serdaigle aperçu du coin de l’œil le masqué entrain de lancer son prochain sort. Baguette en main, l’Auror formula Sphaera Ignis en direction des pics qui convergeaient vers lui. Une imposante boule de feu sorti de la pointe de la baguette du sorcier et s’en alla à la rencontre des pics, provoquant une explosion aux couleurs vives. Un problème de régler. Mais le combat ne faisait que commencer. Le nuage sombre qui était sorti de la baguette du mage noir était déjà très proche de l’Auror. Matt connaissait ce sortilège, un de plus apprécié par les masqués justement. Si il restait comme un fruit au milieu du chemin de Traverse entouré par le nuage, il serait rapidement asphyxié. L’Auror recula de plusieurs mètres pour échapper au sortilège même si il se doutait que le nuage le suivrait, commandé par le Mangemort. Le meilleur moyen de stopper le maléfice de la Fumée Étrangleuse était de s’en prendre directement au sorcier le dirigeant. Le sorcier américain formula un Eolo Procella en direction du nuage. Les bourrasques de vent dissipèrent une importante partie du nuage, permettant à l’agent du Ministère de la Magie d’apercevoir son adversaire. Ne laissant pas le temps au nuage de se reformer, il formula instantanément un Terraballi Mortis. Voyons comment le masqué allait réussir à éviter le sortilège de la prison de terre. Après tout, autant qu’il commence à s’habituer à être enfermé. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Lun 14 Mai - 1947 Ice&FireLe spectacle que nous avait proposé ce cher sorcier d'élite était des plus magnifiques, il fallait le reconnaître. Le feu et la glace se mariait somptueusement bien de part leur opposition, c'était superbe. Mais pas le temps de s'extasier devant tant de beauté, il fallait continuer de combattre pour que mon cher adversaire se retrouve hors d'état de boule feu s'écrasa plus loin, déjà bien diminuée de part ses rencontres avec les quelques piques de glace. Puis le vent s'éleva, ne me laissant pas croire qu'il était naturel lorsque je vis mon nuage mortel se dissiper petit à petit. S'assurer d'être hors de danger pour ensuite contre-attaquer, une attitude basique de duel qui ne laissait que peu de place à la surprise. Ce qui était bien dommage... Le sol autour de moi se mit à réagir quelque peu, ainsi donc cela viendrait de la terre. Qu'importe ce que c'était, il fallait éviter de rester ici trop longtemps. Le crac caractéristique du transplanage se fit entendre, autant changer de position. Cela me permettrait de le Surprise ! Dis-je lorsque je me retrouvai dans son dos, car c'était bien à cet endroit que j'avais transplané. Gladius Purpura ! Hurlai-je en pointant ma baguette dans la direction de l' forma alors la typique lame meurtrière qui s'élança à toute allure vers mon ennemi. La distance entre nous lui permettrait de s'en tirer probablement mais pas sans séquelle. Puis, une idée afin de le mobiliser Terra soluenta Multiplicare. Quelques mètres plus loin, avant même de savoir si mon sortilège l'avait touché. Ainsi, non seulement il serait projeté vers l'avant mais en plus il tomberait sur des sables mouvants qui se feraient un plaisir de l'accueillir correctement. Ces derniers recouvraient une grande partie de la ruelle menaçant presque les fondations des habitations. Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Mar 15 Mai - 1401 La respiration haletante, Matt s'essuya rapidement le front en entendant le grondement de son sortilège sortir de terre. Il espérait que les parois de terre allaient se refermer rapidement pour ne pas laissé le temps au masqué de réagir. Si il réussissait à l’emprisonner maintenant, ça lui faciliterait les choses et il serait à rentrer chez lui pour voir Axelle. Mais comme tous les plans que le sorcier mettait en action, rien ne se passa comme prévu. Le mage noir face à lui, qui semblait pourtant être prit au piège, disparut. Un crac sonore résonna dans la ruelle. L’Auror connaissait que trop bien ce bruit. Un transplanage. Et un transplanage lors d’un duel entre sorcier avait quasiment toujours la même destination. Le dos de l’adversaire. Surprise ! » Matt eut tout juste le temps de se retourner pour voir le masqué, à un mètre de lui, baguette pointé dans sa direction. Une flamme pourpre ayant la forme d’une lame fonça droit sur l’agent d’élite du Ministère de la Magie. Grâce à l’expérience qu’il avait acquis grâce à ses nombreux combats, l’américain eu le reflexe de lancer un Protego. Malheureusement, la distance entre les deux sorciers était des moindres et le sort de protection de l’Auror n’eut pas le temps de se former intégralement. La lame frappa le sortilège de protection mais ce dernier, formulé dans la précipitation, céda. Le sortilège du mage noir, quelques peu amoindrit, frappa le torse de l’Auror qui fut propulsé en arrière. Matt s’attendait à chuter lourdement sur le sol mais contre tout attente, il se retrouva sur une surface sableuse. L’américain comprit le pétrin dans lequel il était. Son corps était aspiré par le sable et ci il restait plus longtemps dedans, il allait se retrouver immobiliser, à la merci du mage noir. Alors que le temps jouait en sa défaveur, l’Auror jeta un regard aux battements autour de lui qui ne se trouvaient pas dans la zone des sables mouvants. Sur un des appartements du Chemin de Traverse, situé au rez-de-chaussée légèrement surélevé d’un ancien bâtiment, le balcon possédait plusieurs jardinières. Alors que les jambes du sorcier étaient enlisées dans les sables, il visa l’une des jardinières et formula un Commutatio Loco. Instantanément, la jardinière se retrouva à la place du sorcier et s’enlisa dans les sables mouvants. L’américain, quant à lui, fût téléporté et tomba sur le balcon. Alors qu’il allait se relever, la vision de l’Auror se brouilla et ses tripes se nouèrent. Une gerbe de sang sorti de sa bouche pour finir son chemin sur les lattes en bois du balcon. Une douleur aigue lui comprimait le torse, la où la lame l’avait frappé. Matt posa sa main gauche sur la localisation d’où provenait la douleur mais ne remarqua aucune blessure particulière. Nouvelle gerbe de sang. Il jura tandis que qu’une voile brumeux s’installa devant ses yeux. La respiration haletante et rauque, le sorcier américain s’interdisait de paniquer malgré l’urgence de la situation. Son ennemi avait du le localiser et n’allait pas tarder à lui tomber dessus. Il faut que je prévienne les autres… » Murmura-t-il pour lui même. Baguette en main, le sorcier américain pointa sa baguette en direction du ciel, se préparant à lancer son patronus chercher des renforts. Il n’avait pas d’autres choix. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Sam 19 Mai - 035 Prise de LALa succession peu commune de mes sortilèges semblait fonctionner. Mais c'était sans compter sur l'expérience de mon adversaire. Heureusement que je portais un masque, car l'air dubitatif qui s'était affiché sur mon visage lorsque je vis la jardinière à la place du sorcier n'avait rien de bien crédible. Il est vrai que je n'avais pas envisagé qu'il échange sa place. Légèrement stressé, j'observais les alentours, passant rapidement les habitations en revue, le premier coup d'oeil ne fut pas le bon. J'étais sur mes gardes, car même si j'avais bien vu que mon sortilège l'avait touché, je ne savais pas quels en étaient les dégâts. Attentif à une attaque surprise éventuelle. Un bruit de vomi, du moins quelque chose qui y ressemblait, vint briser le silence d'hiver qui était revenu après les premiers échanges de sortilèges. Un deuxième bruit se fit entendre ce qui m'aidait à préciser l'emplacement de mon adversaire et si ce dernier ne tentait rien, j'avais bon espoir de croire que je l'avais plutôt bien endommagé. Je crois bien que je l'ai trouvé. Il fallait qu'il descende de son perchoir !- Bombarda Ma
n entre pas docilement dans cette douce nuit