Lapolitique budgétaire, qui consiste à utiliser le budget de l’État par une action sur les dépenses publiques et les prélèvements obligatoires pour atteindre certains objectifs choisis par le gouvernement afin de réguler l’activité, peut agir sur la conjoncture via deux canaux : les stabilisateurs automatiques et la politique discrétionnaire.
Objectif: Comprendre comment la politique monétaire agit sur la conjoncture.#Bac #ses Pensez à vous abonner :
Lesite SES-ENS, développé dans le cadre d'une convention passée en 2002 entre les Écoles normales supérieures (ENS) et le ministère chargé de l'Éducation nationale, s'adresse aux professeurs de sciences économiques et sociales, et a pour objectif d'établir des passerelles entre l'enseignement secondaire et supérieur en apportant des contenus permettant aux
Chapitre7: Quelles politiques économiques dans le cadre européen? Chapitre 6 Travail et emploi (les mutations) 1 Chapitre 1 Sources et défis de la croissance; 4 Chapitre 4 Comment est structurée la société française actuelle; 2 Les politiques environnementales; 3 Chapitre 3 Inéglités et justice sociale; 3 Chapitre 3 L’engagement
Unprofesseur vous propose le corrigé de la dissertation de l'épreuve de Siences éco de la série ES du bac 2016. Le plan proposé: une forte hétérogénéité des situations économiques des
JVrzv5Y. Objectif Connaître les politiques conjoncturelles au sein de l'Union Européenne. Points clés Les politiques conjoncturelles qu’elles soient monétaires ou budgétaires sont largement définies au niveau européen pour les pays qui ont adopté l’euro. La politique budgétaire consiste à utiliser le budget de l'État pour agir sur la conjoncture, en réduisant le déficit public. La politique monétaire consiste à modifier le taux d’intérêt par l’intermédiaire de la Banque centrale pour faire varier la masse monétaire disponible et accélérer ou freiner la croissance économique. Ces politiques doivent être menées conjointement pour des économies qui ont réussi leur convergence. Cela implique donc une perte d’autonomie pour les États membres, qui se voient imposer des règles d’influence libérale en matière de réduction des déficits budgétaires et de taux d’intérêts. Ces politiques se sont renforcées depuis la crise de la dette débutée en 2009. L’union économique mais aussi monétaire nécessite une plus grande coordination des politiques économiques nationales des pays de la zone euro, au détriment de leur autonomie. 1. La politique budgétaire a. Les principes de la politique budgétaire La politique budgétaire consiste à utiliser le budget de l'État pour agir sur la conjoncture, en réduisant le déficit public. Pour les économistes keynésiens, un déficit budgétaire est nécessaire en période de ralentissement économique. Les entreprises anticipent une demande faible et n’investissent pas. C’est à l’État de relancer la croissance en faisant des investissements publics qui auront un effet multiplicateur sur les revenus et la consommation. Cette politique fut menée pendant les Trente Glorieuses, apportant une forte croissance mais aussi un endettement important de l’État. Pour les libéraux, cette politique est dangereuse car l’État, en s’endettant, draine une partie des ressources monétaires du crédit, ce qui a pour conséquence de faire augmenter les taux d’intérêts. Cette augmentation empêche les entreprises privées d’investir à leur tour, faisant entrer l’économie dans un cercle vicieux de sous-endettement privé effet d’éviction par la dette publique. b. Les contraintes européennes Tous les pays souhaitant adopter l’euro ont ratifié le traité de Maastricht en 1992 qui prévoyait la mise en place de la monnaie unique. Adopter une monnaie commune nécessite de mener des politiques économiques concertées pour que tous les pays puissent être dans une situation comparable. Dans le cas contraire, l’adoption d’une mesure de politique économique commune risquerait de déstabiliser certains pays et créer des déséquilibres néfastes à la survie de l’euro. Des critères de convergence ont ainsi été choisis pour que les pays souhaitant adopter l’euro puissent le faire en toute sécurité. Ces critères concernaient en partie la politique budgétaire des États. Il a été décidé que le déficit budgétaire ne pouvait pas excéder 3 % du PIB Produit intérieur brut ; la dette publique ne devait pas dépasser 60 % du montant du PIB. Le non-respect de ces critères a empêché la Grèce de rentrer dans l’euro en 1999 elle n’a pu adhérer qu’en 2001. Ces critères ont été durcis avec le pacte de stabilité européen qui prévoit, à terme, un équilibre budgétaire pour les pays de la zone euro. Ainsi, ils doivent absolument maîtriser leurs dépenses publiques pour se conformer à ces contraintes européennes. La crise de la dette que connaît la plupart des pays de la zone euro depuis 2009 a mis en évidence la difficulté du respect de ces critères la Grèce a une dette de 160 % du PIB, la France un déficit public de 5,5 %. Cela les oblige à mener une politique de réduction des déficits politique de rigueur et les empêche de tenter de relancer la croissance par l’endettement, comme le préconisent les keynésiens. 2. La politique monétaire a. Les principes La politique monétaire consiste à modifier le taux d’intérêt par l’intermédiaire de la banque centrale pour faire varier la masse monétaire disponible et accélérer ou freiner la croissance économique. Les keynésiens préconisent une baisse des taux d’intérêts pour permettre une relance de la demande par le crédit qui sera plus abordable et favoriser la reprise économique. Cette politique est typique d’une économie d’endettement Trente Glorieuses mais elle a pour corollaire une montée de l’inflation. En effet, une forte augmentation de la demande de biens et de services va créer un déséquilibre avec l’offre qui se traduira par une augmentation des prix. Or, pour les libéraux, l’économie doit être financée par l’intermédiaire des marchés financiers émission de titres et il faut donc pour cela favoriser l’épargne nationale ou attirer les capitaux étrangers. Cela ne peut se faire que par le biais de taux d’intérêts plus élevés et d'une inflation faible la hausse des prix dévalue la monnaie et n’encourage pas l’épargne. Il faut donc réduire la quantité de crédit disponible et adapter la quantité de monnaie à la croissance économique principe monétariste. b. Une politique monétaire totalement confiée à l'Europe La politique monétaire doit être commune à tous les pays adoptant une monnaie unique. En effet, si tous les pays subissent une croissance faible, ils doivent profiter également d’une baisse des taux d’intérêts sur l’euro. Le traité de Maastricht donne donc deux critères de convergence relatifs à la politique monétaire le taux d'inflation d'un État membre donné ne doit pas dépasser de plus de 1,5 point celui de trois États membres présentant les meilleurs résultats en matière de stabilité des prix ; les taux d’intérêts à long terme ne doivent pas dépasser de plus de 2 % ceux des trois États membres présentant les meilleurs résultats en matière de stabilité des prix. De plus, en 1998, les pays de l’UE donnent naissance à la Banque centrale européenne BCE dont le rôle principal inscrit dans ses statuts est de limiter l’inflation dans la zone euro. La BCE module donc ses taux d’intérêts pour que l’inflation soit maintenue à un niveau ne dépassant pas les 2 % par an. L’orientation de la politique monétaire européenne est donc clairement libérale pour coller à une économie largement financée par les marchés financiers. Cette politique nécessite donc des taux d’intérêts plus élevés qu'aux États-Unis par exemple pour attirer les capitaux étrangers et une inflation contenue. Les pays de la zone euro n’ont donc aucune prise sur leur politique monétaire, celle-ci est menée par la BCE de manière totalement indépendante des États membres. 3. Synthèse visuelle Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours ! Découvrez Maxicours Comment as-tu trouvé ce cours ? Évalue ce cours !
NOR MENE2001800N Note de service n° 2020-033 du 11-2-2020 MENJ - DGESCO A2-1 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie ; au directeur du Siec d'Île-de-France ; aux inspectrices et inspecteurs d'académie-inspectrices et inspecteurs pédagogiques régionaux ; aux cheffes et chefs d'établissement ; aux professeures et professeurs Cette note de service définit l'épreuve de l'enseignement de spécialité sciences économiques et sociales de la classe de terminale de la voie générale. Elle est applicable à compter de la session 2021 du baccalauréat. Épreuve écrite Durée 4 heures Programme de l'épreuve L'épreuve porte sur une partie du programme de l'enseignement de spécialité sciences économiques et sociales de la classe de terminale cf. arrêté du 17 juillet 2019 paru au BOEN spécial n° 8 du 25 juillet 2019. Les questions évaluables dans le cadre de l'épreuve d'enseignement de spécialité de terminale sont définies en annexe de la présente note de service selon une périodicité alternant années paires et années impaires. Les notions rencontrées en classe de première cf. arrêté du 17 janvier 2019 paru au BOEN spécial n° 1 du 22 janvier 2019 mais non approfondies en classe de terminale, doivent être connues et mobilisables. Elles ne peuvent cependant pas constituer un ressort essentiel du sujet. Structure Deux sujets de nature différente, une dissertation s'appuyant sur un dossier et une épreuve composée de trois parties distinctes, sont proposés au choix du candidat. Ils sont déterminés de façon à couvrir plusieurs dimensions du programme - le sujet de dissertation et celui de la troisième partie de l'épreuve composée portent sur des champs différents du programme science économique ; sociologie et science politique ; regards croisés ; - les sujets de la dissertation et ceux de chaque partie de l'épreuve composée portent sur différentes questions issues du programme. Dissertation s'appuyant sur un dossier documentaire Objectifs de l'épreuve compétences et connaissances évaluées Il est demandé au candidat - de répondre à la question posée par le sujet ; - de construire une argumentation à partir d'une problématique qu'il devra élaborer ; - de mobiliser des connaissances et des informations pertinentes pour traiter le sujet, notamment celles figurant dans le dossier ; - de rédiger en utilisant le vocabulaire économique et social spécifique approprié à la question et en organisant le développement sous la forme d'un plan cohérent qui ménage l'équilibre des parties. Il sera tenu compte, dans la notation, de la clarté de l'expression et du soin apporté à la présentation. Les objectifs de l'épreuve figureront en introduction du sujet distribué aux candidats. Structure de l'épreuve Le libellé du sujet de la dissertation invite le candidat à poser et à traiter, d'une façon organisée et réfléchie, un problème exigeant un effort d'analyse économique et/ou sociologique et politique. Pour aider le candidat à asseoir son travail sur des informations précises, un dossier est mis à sa disposition. Ce dossier ne doit ni borner son horizon en le détournant du recours à ses propres connaissances, ni lui servir de prétexte à un commentaire systématique et détaillé. Il comporte trois ou quatre documents de nature strictement factuelle. Il s'agit principalement de données statistiques graphique, tableau, carte, radar, etc. ; un document texte peut figurer dans le dossier documentaire à condition qu'il soit lui aussi strictement factuel chronologie, extrait d'entretien, monographie, récit de vie, compte rendu d'enquêtes, etc.. Chaque document statistique ne devra pas dépasser 120 données chiffrées et le texte éventuel comporter plus de 2 500 signes. Épreuve composée Objectifs de l'épreuve compétences et connaissances évaluées Cette épreuve comprend trois parties. Partie 1 - Mobilisation des connaissances il est demandé au candidat de répondre à la question en faisant appel à ses connaissances acquises dans le cadre du programme. Partie 2 - Étude d'un document il est demandé aux candidats de répondre aux questions en mobilisant ses connaissances acquises dans le cadre du programme et en adoptant une démarche méthodologique rigoureuse, de collecte et de traitement de l'information. Partie 3 - Raisonnement s'appuyant sur un dossier documentaire il est demandé au candidat de traiter le sujet - en développant un raisonnement ; - en exploitant les documents du dossier ; - en faisant appel à ses connaissances personnelles ; - en composant une introduction, un développement, une conclusion. II sera tenu compte, dans la notation, de la clarté de l'expression et du soin apporté à la présentation. Les objectifs de l'épreuve figureront en introduction du sujet distribué aux candidats. Structure de l'épreuve Cette épreuve est constituée de trois parties Partie 1 - Mobilisation des connaissances 4 points. Cette première partie de l'épreuve, sans document d'appui, est composée d'une question notée sur 4 points. Partie 2 - Étude d'un document 6 points Cette deuxième partie de l'épreuve est une étude d'un document statistique graphique, tableau, carte, radar, etc. de 120 données chiffrées au maximum comportant deux questions. Partie 3 - Raisonnement s'appuyant sur un dossier documentaire 10 points. Le libellé du sujet invite le candidat à développer un raisonnement, à rassembler et mettre en ordre des informations pertinentes issues du dossier documentaire et de ses connaissances personnelles. Le dossier documentaire mis à la disposition du candidat ne doit ni borner son horizon en le détournant du recours à ses propres connaissances, ni lui servir de prétexte à une paraphrase ou à un commentaire systématique et détaillé. Il comporte deux ou trois documents de nature différente texte, graphique, tableau statistique, schéma, etc.. Chaque texte ne devra pas dépasser 2 500 signes et chaque document statistique comporter plus de 120 données chiffrées. Les trois parties de l'épreuve composée portent sur trois questions différentes et au moins deux champs du programme science économique ; sociologie et science politique ; regards croisés. Épreuve orale de contrôle Durée 20 minutes Temps de préparation 30 minutes Structure de l'épreuve Cette épreuve orale porte sur la même partie du programme que l'épreuve écrite. Le candidat a le choix entre deux sujets dont les questions principales portent sur des champs différents du programme science économique ; sociologie et science politique ; regards croisés. La question principale, notée sur 10 points, prend appui sur deux documents courts, simples, et de nature différente texte de 1300 signes au maximum ; documents statistiques de 65 données chiffrées au maximum. Le sujet comporte également trois questions simples, notées sur 10 points. Les deux premières questions sont notées sur 6 points et permettent de vérifier la connaissance par le candidat des notions de base figurant dans deux champs différents du programme science économique ; sociologie et science politique ; regards croisés. La troisième question, en lien avec un des deux documents, porte sur la maîtrise des outils et savoir-faire, elle est notée sur 4 points. Pour le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, et par délégation,Le directeur général de l'enseignement scolaire,Édouard Geffray
Liste des sujets possibles EC1 – Dans le cadre de l’Union européenne, présentez deux avantages de l’Union Economique et Monétaire. – Présentez deux raisons pour lesquelles certains pays européens ont souhaité se doter de l’euro. – Vous présenterez deux effets de l’adoption d’une monnaie unique pour les pays de la zone euro. – Montrez que l’appartenance à l’Union économique et monétaire impose des contraintes en matière de politique budgétaire. – Présentez un argument montrant que la mise en place d’une union économique et monétaire constitue une expérience originale d’intégration pour les membres de l’Union européenne. -Présentez deux caractéristiques d’une union économique et monétaire. – À l’aide de deux exemples, vous montrerez comment l’euro permet de faciliter les échanges commerciaux. EC2 – Vous présenterez le document puis vous caractériserez les évolutions du commerce et du PIB de la zone euro. EC3 – Vous expliquerez que la constitution d’une union économique et monétaire a été une étape importante de l’intégration européenne. – Vous montrerez que l’union économique et monétaire renforce les interdépendances entre les politiques conjoncturelles des Etats membres. – Vous montrerez que les pays de l’Union européenne connaissent des difficultés à coordonner leurs politiques économiques. – Vous montrerez comment les États membres de l’Union européenne ont approfondi l’intégration de leurs économies. Dissertation – Quelles sont les difficultés des États membres de l’Union économique et monétaire pour coordonner leurs politiques conjoncturelles ? – Quels sont les avantages et les contraintes de la coordination des politiques conjoncturelles au sein de l’Union Economique et Monétaire UEM ? – Quelles sont les conséquences de l’union économique et monétaire pour les pays de la zone euro ? – Comment l’Union européenne favorise-t-elle une intégration plus étroite des économies des pays membres ? Le vocabulaire à maîtriser. Notions de première à réviser La banque centrale est la banque des banques, Elle a pour fonction de gérer le système de paiement, de contrôler le financement de l’économie et de mettre en œuvre la politique monétaire. La politique budgétaire recouvre l’ensemble des mesures visant à agir sur la conjoncture économique inflation, croissance, commerce, emploi au travers des recettes ou des dépenses inscrites au budget de l’Etat La politique monétaire recouvre l’ensemble des mesures visant à agir sur la conjoncture économique inflation, croissance, commerce, emploi au travers des conditions du financement de l’économie taux d’intérêts, taux de change, quantité de monnaie en circulation. La politique conjoncturelle recouvre l’ensemble des mesures visant à agir sur l’économie à court terme, en particulier à lutter contre les fluctuations. Ses objectifs sont l’inflation, la croissance, l’emploi et le commerce extérieur. Notions de terminales à acquérir L’euro, c’est la monnaie unique adoptée par les pays des 19 états membres de la zone euro, lesquels se sont doté d’une banque centrale commune, la banque centrale européenne. L’union économique et monétaire UEM rassemble les pays de l’Union européenne autour d’un marché commun biens et services, travail et capitaux et une monnaie commune mais seul 19 des 27 pays de l’union utilisent cette monnaie commune. Etape avancée dintégration, les pays de l’UEM cherchent à harmoniser leurs politiques économiques. L’intégration économique est un processus qui consiste, pour un ensemble de pays, à mettre en commun ses politiques économiques. Extraits de JT pour problématiser. Sur le site ses webclass Le diaporama du cours. => Première classe virtuelle Lundi 14/03 10h-12h les particularités de la construction européenne Diaporama Place de l’Europe 2019 Les fiches TD Renforcement coordination suite à la crise prépa Eco Europe 2019 Le fil conducteur et les préparations. Test socrative pour vérifier re*mobiliser les acquis du cours d’histoire géographie Quiz_placedelunioneuropennedanslconomieglobalervisionscourshgterminaleet code d’accès pour récupérer le fichier SOC – 26851480 Espaces collaboratifs les particularités de la construction européenne. Groupes Belassa; Williamson; Schumann et Perroux Test google form pour vérifier sa compréhension des politiques contra-cycliques Remise des paragraphes Présentation d’une politique de relance par la demande » Les ressources complémentaires. L’extrait de JT utilisé en problématisation du chapitre Le site toute l’ » Mise à Jour 14/04/20
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La politique dans le cadre europeen La mise en ?ouvre des politiques économiques 1 . Des politiques économiques sous contraintes Introduction. En économie de marché, l’état joue un rôle de régulateur et utilise des instruments afin d’atteindre certains objectifs, mais il agit sous contrainte. Ai. Contraintes internationales La monopolisation est marquée par la disparition progressive des obstacles à la circulation des biens, des capitaux et des personnes; les états sont mis en concurrence par les agents usine toi en nées économe?queues. L’ONCE cherche à faire relations économique Le FAIM impose des ré échange de son aide b. Les contraintes régional es FO once loyale dans les lapement en La commission européenne surveille et contrôle si l’action des états membre va dans le sens la concurrence loyale Contrôle des ententes et des opérations de concentration au sein du marché unique par la commission européenne L’indépendance de la BEC depuis la mise en place de l’euro, la politique monétaire et la politique de change ne sont plus du ressort des états mais de celui la BEC. La pacte de stabilité et de croissance la politique budgétaire élevé de la responsabilité du gouvernement de chaque état membre mais ces états doivent respecter un déficit public inférieur à 3% du PUB, la dette publique inférieure à 60% du PUB, avec à terme l’obligation de parvenir à l’équilibre des f finances publiques 2. La politique conjoncturelle Les objectifs et es instruments La politique conjoncturelle correspond à l’ensemble des mesures prises par les pouvoirs publics en vue d’atteindre à court terme les objectifs suivant Une croissance élevée du PUB Le plein emploi La stabilité des prix équilibre des échanges extérieurs La politique budgétaire consiste à utiliser le budget comme moyen d’action en faisant varier les dépenses et ou les recettes de l’état afin d’agir sur la demande selon l’objectif choisi relance ou rigueur ces le gouvernement de chaque pays qui prend les mesures de politique budgétaire les pays de la zone euro sont contraints de respecter le pacte de stabilité et de croissance imposé par la commission européenne La politique monétaire correspond à l’ensemble des interventions de la banque centrale pour influencer le taux d’intérêt et liquidité des banques, afin d’augmenter ou de freiner la croissance de la masse monétaire Les politiques de relance Il s’agit de politiques qui visent à lutter contre la récession et de réduire le taux de chômage en agissant sur la demande ou sur l’offre par le biais de l’instrument budgétaire et de l’instrument monétaire Les instruments et les effets attendus cf.. Tableau 2 augmentation des prestations sociales, subventions aux entreprises, investissement public Baisse des impôts et des charges sociales Augmentation de la demande consommation des ménages, investissement des entreprises Stimulation de l’offre reprise de l’activité économique Création d’emploi et baisse du chômage Politique monétaire boa sèment du taux directeur Injection supplémentaire sur le marché interbancaire par le rachat de titres aux banques Baisse des taux d’intérêts donc plus d’emprunts Augmentation de la demande et reprise de l’activité économique 3. Les politiques de rigueur Il s’agit de politiques qui visent à rétablir les grands équilibres la stabilité des prix et l’équilibre des échanges extérieurs Les instruments et les effets attendus Instruments Modalités Effets attendus Politique budgétaire Réduction des dépenses publiques Hausse des impôts Baisse de la demande Ralentissement de la hausse des prix Abaissement du taux directeur 4. Les politiques structurelles Elle comprend l’ensemble des interventions de l’état visant améliorer durablement les s de l’économie de concentration, etc. La politique environnement vise à préserver l’environnement La politique sociale permet de corriger les inégalités par la redistribution des revenus 5. Les limites à l’efficacité des politiques économique . Des contraintes de financement et d’endettement public La relance de l’économie par un accroissement des dépenses publiques provoque un déficit budgétaire. Acheta est donc amené à emprunter, ce qui augmente la dette publique b. Coiffe d’éviction ’emprunt public ponctionne l’épargne et ralentie l’investissement des entreprises. Sur le marché des capitaux, l’emprunt d’état vient en concurrence des emprunts privés qui trouvent plus difficilement les capitaux nécessaires au financement de l’investissement. Cc. L’anticipation des agents économiques Ils seraient capables identifier rationnellement. Ils ne seraient pas prêts à dépenser plus et les politiques de relances perdraient toute efficacité. Remarque La contrainte liée à l’ouverture des économies.
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