lavie quotidienne des hébreux au temps de la bibleCommentaires sur cet exemplaire : Un tampon en page de garde . Viisteguidée: Des remparts dans la ville Grand Bayonne. Patrimoine - Culture Bayonne 64100 Le 07/09/2022. À Bayonne, l’art de défendre une ville se lit à ciel ouvert, depuis les tours romaines jusqu’au X I X e siècle en passant par l’œuvre de Vauban. Aujourd’hui, ces anciennes fortifica - tions sont devenues des lieux de vie. Repérez bastions, pont-levis, Ellesse tiennent, sauf exception, le dernier vendredi du mois de 20 h 30 à 22 h aux salles Notre-Dame de Plaintel (2 rue de Bel-Air). Dans le souci de bien accueillir les participants, il est nécessaire de s’inscrire préalablement à la rencontre de préparation collective via le formulaire de demande de baptême à retourner à l’accueil paroissial ou Indre France 864. La région française de l’Indre représente un tourisme unique et orienté bien plus nature qu’aventure périlleuse. En Indre il y a plus de 2 000 miroirs, des étangs, du plat pays de Brenne avec ses millions d’oiseaux et une flore magiquement préservée. I2 Son évolution du XIV à nos jours. Une fois arrivé en Europe, le jeu de cartes a connu un rapide essor en parti grâce au développement de l’imprimerie qui a marqué cette époque. Dans les premières années, l’Allemagne produisait des cartes aux enseignes très enluminées et variées. Exemple de figures telles qu’on pouvait en V065e. 1 L'errance des permiers hébreux o Abraham originaire de la ville d'UR en Chaldée reçoit le message d'emmener sa tribu vers la pays de Canaan terre promise par Dieu ; c'est le patriarche chef d'une tribu chez les premiers hébreux 2 L'arrivée des hébreux en Egypte et l'Exode - Le peuple hébreux se réfugie en Egypte où il est bien accueilli au départ. Mais ensuite, ils deviennent un peuple soumis, ils sont appelés israélites et les Egyptiens vont tout faire pour limiter leur croissance Moïse entreprend de le faire sortir d'Egypte pour retourner en terre promise, vers 1200. - Le peuple hébreux traverse la Mer Rouge puis fait une longue traversée du désert de Sinaï c'est l'Exode départ d'une population en dehors d'un territoire 3 Le temps des juges Pour être plus forts , les 12 tribus du peuple hébreux s'unissent sous la direction de personnes sages les juges 4 Le royaume Vers 1040 avant JC, le roi Saül devient le roi du royaume d'Israël. A sa mort, David 1010 – 970 AV JC lui succède et fait de Jérusalem la capital du Royaume. Salomon, son fils lui succède en 970 AV JC et fait construire le temple de Jérusalem. 5 Le temps des malheurs A la mort de Salomon en 930 AV JC, les 12 tribus se divisent en deux groupes au nord le royaume d'Israël 10 tribus et au sud le royaume de Juda 2 tribus. Il se font envahir par leurs voisins. Les Hébreux aussi appelés les juifs sont emportés vers d'autres pays. Certains reviennent en Israël, d'autres restent loin de leur pays et forme la Diaspora d'un mot grecque qui signifie dispersion, désigne la communauté juive installée près de Canaan. Les meilleurs professeurs d'Histoire disponibles5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !C'est partiII – La religion des Hébreux 1 Peuple monothéiste, peuple de l'Alliance Monothéiste = qui croit en un seul dieu – vient de mono = seul et Theo = Dieu Abraham a passé une alliance avec Dieu qui a promis de protéger son peuple et de lui donner une terre en échange- en échange le peuple promet à Dieu de lui rester fidèle. 2 Les pratiques religieuses - Pour respecter l'Alliance et honorer Dieu, les hommes doivent observer les règles strictes exposées dans la Torah première partie de la Bible, les cinq premiers livres que nous appelons Pentateuque, règles qui concernent le culte, le moral et les aspects de la vie quotidienne. - Il y a d'abord les Commandements donnés à Moïse gravés sur les tables de la Loi et conservés dans l'arche d'Alliance ; il y en a 10. - Pour le culte, les Hébreux respectent un jour par semaine le repos et c'est aussi une journée consacrée à la prière c'est le Shabbat. 3 Le temple de Jérusalem Ce temple a été détruit en 587 AV JC, reconstruit puis à nouveau détruit vers 100 av JC. Un troisième temple est reconstruit par le roi Hérode le Grand en 20 AV JC , puis rasé par les Romains en 70. CONCLUSION Le judaïsme est toujours pratiqué par les descendants des Hébreux. Le temple de Jérusalem n'a jamais été reconstruit son emplacement reste un lieu de culte et de prière Le Mur des lamentations », vestige d'un des murs du temple. Aujourd'hui les prêtres juifs, les Rabbins, organisent le culte dans des Sinagogues. Le symbole de la religion des Hébreux est à 6 branches, qui ornaient le bouclier de David l'Etoile de David. Publié le 22/09/2010 à 0054, Mis à jour le 23/09/2010 à 0055 Une étude affirme que le phénomène relaté dans la Bible serait d'origine naturelle. Moïse étendit sa main sur la mer, et l'Éternel fit reculer la mer, toute la nuit par un vent d'est impétueux, et il mit la mer à sec, et les eaux furent divisées. Les enfants d'Israël entrèrent au milieu de la mer, dans son lit desséché, les eaux se dressant en muraille à leur droite et à leur gauche» Exode, versets 21 et 22.La sortie d'Égypte est assurément un des épisodes les plus grandioses de l'Exode et sans doute l'un des plus difficilement explicables. Deux chercheurs américains affirment pourtant être en mesure de retracer les circonstances et le lieu où la mer aurait pu naturellement s'ouvrir devant Moïse et ses compagnons, il y a près de trois mille ans. L'événement se serait produit non pas en mer Rouge à l'occasion d'un tsunami, comme le prétendaient certains chercheurs, mais dans le delta du Nil, sur une lagune peu profonde, après une nuit entière de vent fort continu. Nos simulations collent bien avec le récit de l'Exode», assurent Carl Drews et Weiqing Han, de l'Université du VIDÉO - Simulation du retrait des eaux L'argumentation n'est pas entièrement nouvelle. Elle s'appuie sur un phénomène physique et météorologique bien connu que deux chercheurs russes avaient déjà avancé. Quand un vent fort souffle de façon continue au bord d'un étang, d'un lac ou d'un océan, il pousse la surface de l'eau perpendiculairement vers la droite dans l'hémisphère Nord, vers la gauche dans l'hémisphère Sud. Le phénomène est connu en anglais sous le terme de wind setdown. C'est ce qui se serait passé il y a trois mille ans en Égypte la mer en s'écartant aurait laissé apparaître une langue de terre, créant ainsi un passage. Le phénomène est observable à moindre échelle dans le sud de la France. Les vents d'est ont tendance à faire monter le niveau de la mer le long de la côte au point que, parfois, le Rhône a du mal à s'écouler», explique Guy Caniaux, de Météo France. À l'inverse, s'il y avait des vents d'ouest - ce qui n'arrive jamais dans la région -, le niveau de la mer aurait tendance à XIXe siècle, un officier britannique avait observé dans la lagune de Menzalé, dans le delta du Nil, un phénomène comparable à celui raconté dans l'Exode. Le vent qui avait soufflé très fort pendant une longue période avait vidé une partie du lac, l'eau s'était retirée au loin et les personnes pouvaient le traverser à lac de TanisÀ partir de ce témoignage, les deux universitaires ont examiné la carte du delta du Nil établie à partir du texte de l'historien grec Hérodote. La mer Rouge est en effet trop profonde pour avoir pu s'ouvrir par la seule force du wind setdown. Il leur fallait trouver un lac peu profond où un vent orienté à l'est aurait pu écarter les eaux, exactement comme le rapporte la Bible. Le lac de Tanis qui était alors bordé au sud par une langue de terre offrait une configuration idéale. Les deux chercheurs ont donc modélisé plusieurs scénarios pour savoir quelles conditions météo auraient pu permettre l'exode des Hébreux, ces derniers n'ayant que quelques heures pour franchir les fonds sableux et vaseux du lac voir infographie. Leur étude est scientifiquement très sérieuse», estime Guy Caniaux. Des travaux complémentaires devraient toutefois permettre d'explorer plus sérieusement cette abandonnant la piste de la mer Rouge, les chercheurs ne sont pas isolés. Des interprétations récentes de la Bible préfèrent en effet traduire par mer de joncs» ou mer de roseaux».Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie. Voici les mois de l'année juive, calés sur le cycle lunaire. Ils étaient initialiement repérés par leur numéro uniquement. C'est vers l'epoque de l'exil babylonien que des noms leur ont été attribués. Nom Hébreu Jours Nissan ניסן 30 Iyar אייר 29 Sivan סיון 30 Tamouz תמוז 29 Av אב 30 Eloul אלול 29 Tishri תשרי 30 Heshvan חשון variable 29/30 Kislev כסלו variable 29/30 Tevet טבת 29 Shvat שבט 30 Adar année embolismique seulement אדר 30 Adar 2, ou vé-adar l'année simple, ce mois est appelé Adar ואדר 29 L'année simple, dans ses 12 mois, ne comprend qu'un Adar. Il s'agit de celui de 29 jours. Dans l'année embolismique, le 13ème mois est inséré juste après Shvat. Il est appelé Adar également ; pour le distinguer de l'autre, le suivant est qualifié de Adar 2, ou vé-Adar. Les mois de Heshvan et Kislev sont de longueur variable. Ils peuvent être de 29 ou 30 jours, selon les règles de report. Le début de chaque mois est une solennité, le Rosh Hhodesh. A quoi correspond le mois de Ziv, mentionné dans I-Rois, VI1 [62] ? Il ne s'agit pas d'un mois juif, au sens strict. Dans Rosh Hashana 11a, une discussion oppose Rabbi Eliézer et Rabbi Yehoshoua au sujet du mois au cours duquel furent nés les Avot Patriarches Abraham et Yaaqov, ce qui eut pour effet d'apporter une lumière nouvelle sur le monde en hébreu Zohar, Ziv en araméen. Selon Rabbi Yehoshoua, ils naquirent au mois de Nissan ; il considère donc que le mois suivant, Iyar, deuxième mois de l'année à compter de la Sortie d'Egypte, est celui du Ziv, l'Éclat, du fait qu'il fut le premier mois de cette nouvelle ère de Lumière suite à l'arrivée au monde des Avot. Dans son commentaire sur cette Guemara, Rashi explique qu'il était commun, à l'époque des Rois, de se référer également au cycle solaire et à ses quatre saisons. Le premier mois de la saison du printemps était appelé Ziv, en raison de la luminosité, or l'année où se déroulèrent les événements de ce verset, l'équinoxe de printemps eut lieu au cours du mois de Iyar. Le verset donne donc une double situation temporelle, dans le cycle solaire ainsi que dans le calendrier juif. Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisLa dénomination de Grandes Invasions » est traditionnellement appliquée par les historiens de langue française aux invasions et migrations qui ont affecté le territoire de l'Empire romain et de ses États successeurs, en Europe et en Afrique du Nord, entre la fin du ive et la fin du viie siècle, ces deux limites étant prises approximativement. Les historiens de langues germaniques préfèrent employer des termes analogues à l'allemand Völkerwanderung, migration de peuples », qui ont l'avantage de ne pas se placer au point de vue romain. Il vaut mieux renoncer au vocable d' invasions barbares », qui domine dans l'historiographie ancienne, mais qui risque d'être mal compris, quoique barbare » y signifie seulement qui n'est ni grec ni romain ».L'histoire des Grandes Invasions est difficile à écrire Les sources disponibles sont rares ; elles sont presque toujours unilatérales, provenant du seul milieu romain ; sauf les Ostrogots et les Anglo-Saxons, les envahisseurs n'ont presque rien écrit. On doit donc s'efforcer, pour obtenir une image satisfaisante, de compléter les données des textes par un recours aux moyens d'information les plus variés archéologie, linguistique, onomastique, anthropologie, etc. Mais plusieurs de ces sciences annexes sont d'un emploi délicat et l'interprétation des résultats qu'elles obtiennent doit rester extrêmement prudente. Trop de théories incertaines sont constamment échafaudées ; si parfois elles stimulent utilement la recherche, il faut savoir prendre ses distances envers beaucoup d'entre elles et surtout, dans un grand nombre de cas, se résigner à Grandes Invasions, à la charnière de l'Antiquité et du Moyen Âge, ne sont qu'une tranche chronologique d'un immense mouvement migratoire orienté principalement d'est en ouest et du nord au sud, qui a affecté l'Europe et la moitié septentrionale de l'Asie du iie siècle avant notre ère au xiiie siècle après, de la ruée des Cimbres et des Teutons vers la Méditerranée à l'irruption des Mongols en Europe en 1237-1241. On isole cette tranche de celles qui la précèdent et la suivent en se fondant sur ses conséquences, envisagées du point de vue de l'Europe occidentale c'est la période qui vit la ruine de l'Empire romain en Occident et la création sur son ancien territoire d'une série de nouveaux États, d'origine surtout germanique, dont plusieurs sont directement les ancêtres des formations politiques de l'Europe moderne et par leur nature, les mouvements enregistrés du ive au viie siècle ne diffèrent pas fondamentalement de ceux qui se placent avant ou après ces dates. Presque aucun d'entre eux n'est purement local. Ils forment un immense enchaînement d'interdépendances qui affectent près de la moitié de l'Ancien Monde. Mais c'est encore un sujet de vives discussions que de savoir comment on doit relier les phénomènes qui se déroulèrent en Europe à ceux qui atteignirent le monde chinois, par exemple dans le cas des Huns ou dans celui des retrouve pour les Grandes Invasions les problèmes généraux que posent toutes ces migrations. Dans quelle mesure ont-elles été causées, ou du moins favorisées, par des phénomènes naturels, dessèchement de l'Asie centrale ou montée du niveau de la mer sur les côtes allemandes par exemple ? Nos connaissances sont encore trop rudimentaires pour permettre de vérifier ces inductions, au demeurant vraisemblables. Quelle fut l'importance des faits démographiques ? Elle paraît a priori certaine pour l'expansion germanique ou l'expansion slave par exemple, mais aussi impossible à mesurer qu'à expliquer clairement. Peut-on assigner un rôle à des croyances religieuses ou à des rites sociaux dans le déclenchement de certaines migrations, par exemple au printemps sacré » expatriation forcée d'une classe d'âge ? Cela n'est vraisemblable que dans des cas très rares ; avant l'islam, le prosélytisme religieux peut être à peu près n'est pas d'explication universelle applicable à toutes les migrations qui eurent lieu du ive au viie siècle. Mais deux ou trois faits ne doivent jamais être perdus de vue. De tout temps, la richesse, réelle ou supposée, des sédentaires, et notamment des citadins, constitua un puissant aimant pour les populations nomades ainsi s'expliquent dans une large mesure les mouvements issus du monde des steppes en direction de la Chine ou de Rome. D'autre part, il est non mo [...]1 2 3 4 5 …pour nos abonnés, l’article se compose de 24 pagesAfficher les 8 médias de l'articleÉcrit par maître de conférences à l'université de CaenClassificationHistoireHistoire thématiqueHistoire maritimeHistoireHistoire chronologieAntiquitéEurope, AntiquitéGrandes Invasions ou Grandes MigrationsAutres références INVASIONS GRANDES » est également traité dans DÉBUT DES GRANDES MIGRATIONSÉcrit par Patrick PÉRIN • 203 motsDès le iiie siècle avant notre ère, il y eut de multiples mouvements de peuples germaniques à partir de l'Europe du Nord, mais qui ne menacèrent pas directement le monde romain, sinon par des raids sans lendemain, notamment au milieu du iiie siècle de notre ère. L'année 375 marque cependant la date tradit […] Lire la suiteEMPIRE ROMAIN ET BARBARES AU IVe SIÈCLE - repères chronologiquesÉcrit par Xavier LAPRAY • 268 mots325 Réforme de l'armée par Constantin qui institue une armée de manœuvre et une armée de Bataille de Mursa, la plus sanglante du ive siècle, durant la guerre civile entre l'empereur Constance II et l'usurpateur Victoire de l'armée romaine sur les Alam […] Lire la suiteAFGHANISTANÉcrit par Daniel BALLAND, Gilles DORRONSORO, Mir Mohammad Sediq FARHANG, Pierre GENTELLE, Sayed Qassem RESHTIA, Olivier ROY, Francine TISSOT, Universalis • 34 335 mots • 21 médias Dans le chapitre La domination turque » […] Avec la disparition des Samanides, le pouvoir passa de nouveau aux mains des Turcs, venus des steppes du Nord en quête de pâturages. Leur modèle s'imposa encore une fois, mais heureusement la destruction, au moins en Afghanistan, resta limitée. Car les nouveaux conquérants, qui avant d'arriver au pouvoir avaient passé quelque temps au service des Samanides, avaient non seulement adhéré à l'islam, […] Lire la suiteANDRINOPLE BATAILLE D' 378Écrit par Xavier LAPRAY • 239 mots La bataille d'Andrinople Edirne, Turquie actuelle constitue pour les Romains le plus grave désastre militaire du iv e siècle. Les Goths, chassés du nord du Danube par les Huns, demandent en 376 asile à l'Empire. Mal accueillis en Thrace par les commandants régionaux, ils finissent par se révolter. Après trois ans d'opérations incertaines, l'empereur d'Orient Valens, qui a mal évalué leurs forc […] Lire la suiteANGLO-SAXON ARTÉcrit par Patrick PÉRIN • 5 159 mots • 4 médias Dans le chapitre Une situation historique complexe » […] On ne peut comprendre la genèse et l'évolution de l'art anglo-saxon du haut Moyen Âge v e - ix e s. sans un rapide survol de l'histoire de l'Angleterre romaine, puis barbare. Peuplée de Celtes, la Bretagne dénomination de l'Angleterre par les Romains, alors qu'ils connaissaient la Bretagne actuelle sous le nom d'Armorique fut, du fait de sa situation périphérique et insulaire, l'une des der […] Lire la suiteANTIQUITÉ - L'Antiquité tardiveÉcrit par Noël DUVAL • 4 295 mots • 3 médias Dans le chapitre Institutions et société » […] L'Empire, sans connaître de mutation brutale, se transforme à partir du iii e siècle. Certes, l'unité du monde romain » orbis romanus subsiste en principe jusqu'à l'époque de Justinien, au vi e siècle les Byzantins garderont toujours le nom de Romaioi , mais, en pratique, l'Empire connaît des divisions, dues soit à des usurpations cas des Empires gaulois » et palmyrénien » au iii e […] Lire la suiteARCADIUS FLAVIUS PIUS FELIX 377-408 empereur d'Orient 395-408Écrit par Joël SCHMIDT • 500 mots Fils aîné de l'empereur Théodose le Grand et de Aelia Flacilla, il est associé dès l'âge de six ans à l'Empire par son père et proclamé auguste. Cette désignation est confirmée par sa triple nomination de consul en 385, 392 et 394. De petite taille et chétif, Arcadius est confié à divers précepteurs renommés, tels le rhéteur Themistius et le diacre Arsénius qui l'instruisent dans la religion chrét […] Lire la suiteATHÈNESÉcrit par Guy BURGEL, Pierre LÉVÊQUE • 16 987 mots • 10 médias Dans le chapitre Athènes romaine » […] À partir de 168 défaite de Persée à Pydna, l'hégémonie de Rome se substitue en Grèce à celle de la Macédoine. Athènes n'a d'abord qu'à s'en louer. En 166, les Romains lui restituent quelques clérouquies et lui donnent Délos, d'où un essor nouveau du Pirée, renforcé encore par la lamentable destruction de Corinthe 146. Les vicissitudes politiques du i er siècle font à nouveau péricliter Athène […] Lire la suiteATTILA 395-453 roi des Huns 434 par E. A. THOMPSON, Universalis • 826 mots Roi des Huns de 434 environ à 453, né en 395, mort en 453. Attila fut l'un des plus grands chefs barbares qui assaillirent l'Empire romain, envahissant le sud des Balkans et la Grèce, puis la Gaule et l'Italie. Les légendes germaniques célèbrent Attila sous le nom d'Atli en scandinave ou d'Etzel en allemand, dans la Chanson des Nibelungen , tandis que l'historiographie chrétienne se souvi […] Lire la suiteAUSTRASIE, LE ROYAUME MÉROVINGIEN OUBLIÉ expositionÉcrit par Jean-Paul DEMOULE • 980 mots • 1 média Dans le chapitre Armes et bijoux » […] L’exposition bénéficie donc des résultats récents de l’archéologie préventive, aussi bien dans le domaine funéraire que dans celui des habitats. À la périphérie de Saint-Dizier, à peu de distance des trois tombes déjà mentionnées, plusieurs autres tombes furent installées à la même époque dans les ruines d’une grande villa gallo-romaine, tandis qu’un nouveau village poursuivait l’occupation du li […] Lire la suiteVoir aussiAETIUSAFRIQUE DU NORD histoire Antiquité et Moyen ÂgeALAINSALAMANSALARIC IerALBOINANGLESAVARBAVAROISROYAUME MÉROVINGIEN DE BOURGOGNEBRETONSPOPULATIONS BULGARESESPAGNE histoire AntiquitéESPAGNE histoire Moyen Âge jusqu'au XIIe ou GOTSGRANDE-BRETAGNE histoire des origines au XIe histoire des origines à 476Recevez les offres exclusives Universalis Le 27 septembre, lors d'un discours devant l'Assemblée générale des Nations unies, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a présenté une carte du sud de Beyrouth, montrant trois "sites secrets" présumés, dans lesquels le Hezbollah transformerait des missiles de précision, sur ordre de l'Iran. Des accusations qui ont provoqué l'inquiétude dans les milieux diplomatiques et politiques libanais et internationaux, Moscou allant même jusqu'à mettre en garde l’État hébreu contre toute offensive contre le Liban. Si le Hezbollah, premier accusé, s'est contenté de fustiger les "mensonges de Netanyahu" tout en confirmant détenir "des capacités" militaires, en référence à des missiles de précision dont l'existence a été confirmée quelques jours auparavant par son chef, la diplomatie libanaise est passée à l'acte. Après avoir accusé Israël de vouloir "justifier une agression" contre le Liban, le ministre libanais sortant des Affaires étrangères, Gebran Bassil, allié au Hezbollah, a organisé lundi une tournée pour plusieurs ambassadeurs, les emmenant sur les sites présumés mentionnés par l’État hébreu. Benjamin Netanyahu a réagi en affirmant "... que le gouvernement libanais sacrifie la sécurité de la population du Liban pour protéger le Hezbollah ...". Une nouvelle réponse aux Israéliens vient alors de la part du chef de l'État, Michel Aoun, qui prévient que "le Liban fera face à toute agression israélienne".L'Orient-Le Jour revient sur les principales offensives israéliennes contre le Liban depuis 1978, date de l'invasion du Liban-Sud par l’État "Litani" de 1978En 1978, le Liban est déjà ravagé depuis trois ans par la guerre civile. Des milliers de combattants des diverses factions palestiniennes de l'Organisation de libération de la Palestine se trouvent sur son sol et le QG de l'OLP se trouve à Beyrouth. Israël cherche à mettre un terme aux attaques palestiniennes contre son territoire à partir du Liban-Sud. Le 11 mars 1978, un commando de l'OLP s'infiltre en Israël à partir du Liban et prend en otages les passagers israéliens d'un bus à Haïfa. L'opération se termine dans un bain de sang le commando est éliminé et une trentaine de civils israéliens sont tués. Trois jours plus tard, dans la nuit du 14 au 15 mars, Israël lance l'opération "Litani". Les forces israéliennes envahissent le territoire libanais sur une profondeur d'environ 40 km, jusqu'au fleuve Litani. Objectif repousser les combattants palestiniens loin de la frontière israélienne avec le Liban. Des miliciens palestiniens s'enfuient alors vers Saïda et Beyrouth, écrivait le journaliste libanais Roger Geahchan, alors rédacteur en chef adjoint à L'Orient-Le Jour. La Une de L'Orient-Le Jour du 16 mars 1978. Archives OLJLe Liban porte plainte contre Israël devant le Conseil de sécurité de l'ONU. La résolution 425 est adoptée. Elle prévoit essentiellement le retrait des Israéliens et le stationnement dans la zone frontalière sud d'une Force intérimaire des Nations unies au Liban Finul. Le 21 mars, l'opération israélienne prend fin. Les forces de l’État hébreu se retireront des secteurs occupés en plusieurs phases, tout en cédant une portion des territoires libanais occupés à l'Armée du Liban-Sud ASL, une milice libanaise qui lui est "Litani" fait 1 186 civils tués, 285 000 personnes déplacées vers la banlieue sud de Beyrouth, et 82 villages endommagés, dont six entièrement détruits. Des adolescents hébétés inspectent les ruines de leurs foyer, détruit par des frappes israéliennes, le 16 mars 1978. Photo d'archives AFPLe 16 juillet 1981, de nouveaux affrontements ont lieu entre Palestiniens et Israéliens à la frontière libanaise. Trois civils israéliens sont tués par des tirs de roquettes palestiniennes. Israël riposte en bombardant les bureaux de l'OLP à Beyrouth. Certains chiffres font étant de 200 à 300 tués dans la capitale libanaise.Lire aussi Le porte-parole de l’armée israélienne apostrophe Bassil sur TwitterL'opération "Paix en Galilée" de 1982En 1982, la guerre du Liban entre dans sa huitième année. La présence palestinienne armée n'est toujours pas éliminée et constitue encore aux yeux d'Israël une menace directe. Dans la nuit du 3 au 4 juin, l’ambassadeur israélien à Londres, Shlomo Argov, est grièvement blessé dans un attentat. L'OLP désavoue l'attaque, mais cela n'empêche pas Israël de riposter au Liban. L'aviation israélienne bombarde massivement des positions et des camps palestiniens au Liban-Sud et dans la banlieue sud de Beyrouth, faisant 60 tués et 270 blessés. Le lendemain, les Israéliens bombardent 38 localités du Liban-Sud, faisant 150 tués et 250 blessés. Le même jour, le Conseil de sécurité de l'ONU, saisi par le Liban, adopte unanimement la résolution 508 en vertu de laquelle un cessez-le-feu immédiat est réclamé. C'est bien le contraire qui aura lieu le lendemain avec le lancement de l'opération "Paix en Galilée". Israël envahit le Liban avec plus de 70 000 hommes. Il veut en finir avec l'OLP, dont les cadres et les combattants se trouvent notamment à Beyrouth-Ouest. Il passe outre une nouvelle résolution du Conseil de sécurité 509 votée le jour même et poursuit son avancée en territoire libanais. La Une de L'Orient-Le Jour du 7 juin 1982. Archives OLJSous le commandement du ministre de la Défense de l'époque, Ariel Sharon, les forces israéliennes progressent jusqu'à Beyrouth et ses banlieues. Elles arrivent à Baabda, siège de la présidence de la République libanaise, avec le soutien des Forces libanaises de Bachir Gemayel. Des affrontements ont lieu avec les forces syriennes du président de l'époque, Hafez el-Assad, qui sont au Liban depuis 1976. Une colonne de blindés israéliens sur la route de Fayadiyé, en banlieue de Beyrouth, le 12 juillet 1982. Photo d'archives L'OLJIsraël veut la tête de Yasser Arafat et l'anéantissement de l'OLP. Fin juin, il contrôle la moitié du Liban et assiège Beyrouth-Ouest où se trouve le leader palestinien. Mais sous pression diplomatique et face à une résistance militaire palestinienne acharnée, un accord parrainé par les États-Unis est trouvé en août. En vertu de cet accord, Yasser Arafat et ses combattants quittent le Liban par la mer pour Tunis. L'opération se prolonge jusqu'au 1er septembre de la même année. Les troupes syriennes évacuent également Beyrouth-Ouest en vertu de cet accord, et une force multinationale débarque afin d'assurer la sécurité du secteur. Des soldats israéliens jouant au ping-pong dans le secteur du port de Beyrouth, le 25 juillet 1982. Photo d'archives L'OLJQuelques jours auparavant, Bachir Gemayel est élu président de la République. Il sera assassiné le 14 septembre. La même nuit, les forces israéliennes pénètrent dans Beyrouth-Ouest pour la première fois. Deux jours plus tard, des miliciens des Forces libanaises et autres factions chrétiennes pénètrent dans les camps palestiniens de Sabra et Chatila, également situés à Beyrouth-Ouest, et y commettent des massacres, sous l’œil des forces israéliennes. L'armée israélienne se retire finalement vers le Liban-Sud où elle occupera une "zone de sécurité" jusqu'en l'an 2000. Un éphémère accord de paix est signé entre le Liban et Israël en mai 1983, sous la présidence d'Amine Gemayel. Mais cet accord sera abrogé quelques mois plus tard. En parallèle de l'invasion israélienne, le Hezbollah chiite est créé, avec le soutien de l'Iran. Il s'appelle alors la "Résistance islamique au Liban". Mais ce n'est que trois ans plus tard, en 1985, que le parti publie son manifeste fondateur. Sept ans plus tard, le 16 février 1992, le secrétaire général du Hezbollah, Abbas Moussaoui, est tué par une frappe aérienne israélienne au Liban-Sud. C'est le chef actuel du parti chiite, Hassan Nasrallah, qui lui succède.Lire aussi En dépit des menaces israéliennes, Baabda ne croit pas à une nouvelle guerre contre le Liban, le décryptage de Scarlett HaddadL'opération "Justice rendue" de 1993L'année d'après, le 10 juillet 1993, le Hezbollah mène une opération contre des militaires israéliens au Liban-Sud, tuant cinq d'entre eux. Deux autres attaques suivent, les 19 et 23 juillet, faisant également des morts dans les rangs de l'armée israélienne. L’État hébreu riposte alors le 25 juillet, en lançant l'opération "Justice rendue". L'offensive israélienne fait 132 morts côté libanais, en majorité des civils. Des centaines de milliers de Libanais fuient également le Liban-Sud vers le nord du pays. Un accord de cessez-le-feu initié par Washington est signé le 31 juillet, mettant fin à sept jours de frappes israéliennes et aux tirs de roquettes du Hezbollah contre le nord d' "Raisins de la colère" de 1996Trois ans plus tard, les hostilités entre le Hezbollah, solidement ancré au Liban-Sud, et Israël, reprennent. Le 11 avril 1996, Israël lance l'opération "Raisins de la colère", affirmant vouloir mettre un terme aux tirs de roquettes du parti chiite qui visent des villes du nord israélien. L'armée israélienne bombarde alors des villages du Liban-Sud, la banlieue sud de la capitale, ainsi que Baalbeck, dans la 18 avril, l'aviation israélienne bombarde un camp de l'ONU accueillant des déplacés près du village de Cana, au Liban-Sud. Bilan 106 civils, dont des femmes et des enfants, sont tués. Des dizaines d'autres sont horriblement mutilés. Israël évoque alors une erreur technique. Une enquête menée par l'ONU après le massacre conclut en mai 1996 qu'"on ne peut écarter totalement cette hypothèse, mais il est très peu probable que le bombardement du poste des Nations unies à Cana soit le résultat d'une grossière erreur technique et ou de procédure".Des Casques bleus et des civils évacuent les corps des victimes du bombardement de Cana Liban-Sud, perpétré le 18 avril 1996 par l'armée israélienne. Photo d'archives AFP / Joseph BarrakLe 26 avril, un accord de cessez-le-feu est conclu entre les belligérants, prévoyant l'interdiction de cibler les civils de part et d'autre. Il est supervisé par un comité coprésidé par Paris et Washington.Pour mémoire Massacre de Cana "un cauchemar!", se souvient Timur Goksel, ex-porte-parole de la Finul et témoinLes bombardements de juin 1999 et de février 2000En 1999, Ehud Barak est Premier ministre d'Israël. Il s'engage alors à retirer unilatéralement les forces israéliennes encore présentes au Liban-Sud, dans un délai d'un an. Cela ne l'empêche pas d'ordonner des frappes contre le Liban les 24 et 25 juin 1999. En réponse à de nouveaux tirs de roquettes du Hezbollah contre le nord d'Israël, l'aviation de l’État hébreu bombarde des infrastructures libanaises, notamment des centrales électriques à travers le pays. Deux d'entre elles, ainsi que cinq ponts, sont ainsi détruits. L'offensive israélienne fait huit morts et 67 blessés, ainsi que sept disparus, écrivait L'Orient-Le Jour dans son numéro du 25 juin d'après, les 7 et 8 février 2000, Israël bombarde à nouveau l'infrastructure du Liban, après la mort de cinq de ses soldats au Liban-Sud. Des centrales électriques sont à nouveau visées. Les frappes font vingt blessés, comme l'indiquait L'Orient-Le Jour dans son numéro du 8 février la nuit du 22 au 23 mai 2000, les forces israéliennes, en application du plan Barak, se retirent du Liban-Sud, après 22 ans d'occupation.Lire aussi Netanyahu, Nasrallah et la distanciation, l'édito de Michel ToumaLa guerre de juillet 2006Depuis le retrait israélien, le Hezbollah, devenu un acteur politique central du système libanais, continue d'améliorer ses capacités militaires. Israël, lui, poursuit ses violations de l'espace aérien et terrestre libanais de manière régulière. Le 12 juillet, un commando du Hezbollah franchit la frontière avec Israël et attaque une patrouille israélienne, capturant deux soldats, tuant trois autres et faisant plusieurs blessés. Le parti chiite espérait un échange avec des prisonniers libanais en Israël. La riposte de l’État hébreu, dirigé à l'époque par le Premier ministre Ehud Olmert et qui tient pour responsable l’État libanais, ne se fait pas attendre. Le jour même, Israël bombarde le territoire libanais. Objectif libérer ses deux soldats otages, faire cesser les tirs de roquettes du Hezbollah, et obtenir le désarmement des milices, à savoir le parti chiite, afin de paver la voie au déploiement de l'armée libanaise à la frontière du Liban-Sud. L'aéroport de Beyrouth, visé par une frappe israélienne, durant la guerre de juillet 2006. Photo d'archives Ramzi MoucharafiehD'abord limitées aux secteurs situés dans le sud du pays du Cèdre, les frappes israéliennes s'étendent le lendemain à tout le territoire, capitale inclue. Aéroport, ponts, centrales électriques ne seront pas épargnés. La banlieue sud de Beyrouth, fief du Hezbollah, paie un lourd tribut. L'offensive israélienne ne se limite pas aux frappes aériennes. L'infanterie de l’État hébreu entre également en action et pénètre en territoire libanais, occupant plusieurs villages du Liban-Sud, où il fait face à la résistance du Libanais fuyant à pieds à Damour Liban-Sud l'offensive israélienne, lors de la guerre de juillet 2006. Photo d'archives Ramzi MoucharafiehLe 11 août, après 33 jours de conflit, le Conseil de sécurité de l'ONU adopte la résolution 1701 qui prévoit principalement l'arrêt des hostilités et le déploiement des Casques bleus au Liban-Sud afin de superviser l'arrêt des libanais, le conflit aura coûté la vie à 1200 personnes, pour la plupart des civils. Côté israélien, le bilan s'élève à 160 morts, en majorité des militaires. Les corps des deux soldats enlevés par le Hezbollah ont ensuite été récupérés par Israël en 2008 dans le cadre d'un accord d'échange avec le Hezbollah. Depuis la guerre de juillet, aucune offensive israélienne n'a visé le Liban. Toutefois, l'aviation israélienne a frappé à plusieurs reprises des éléments du Hezbollah à la frontière libano-syrienne, alors que le parti chiite se bat aux côtés du régime du président syrien, Bachar el-Assad. Quelques accrochages à la frontière Sud ont également eu lieu entre combattants du Hezbollah et militaires israéliens, notamment en aussiLes menaces israéliennes accéléreraient-elles la formation d’un gouvernement ?La Russie met en garde Israël contre d'éventuelles frappes près de l'aéroport de Beyrouth

carte les hébreux au temps des premières invasions