L aube est moins claire » L aube est moins claire, l air moins chaud, le ciel moins pur ; Le soir brumeux ternit les astres de l azur. Les longs jours sont p. MOn COin DeTenTe :) Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. MOn COin DeTenTe :) MOn COin DeTenTe :) Le deal à ne pas rater : Cartes
Corpusde texte: "La chartreuse de Parme" de Stendhal; les "Misérables" de Victor Hugo. Ce corpus est composé de trois textes, le premier "La chartreuse de Parme" de Stendhal parut en 1839, relate la violence et l'horreur de Waterloo par le biais du personnage de Fabrice Del Dongo. Le second est extrait des "Misérables", célÚbre roman écrit en 1862 par Victor Hugo, qui
Laube est moins claire, l'air moins chaud, le ciel moins pur ;Le soir brumeux ternit les astres de l'azur.Les longs jours sont passĂ©s ; les mois charmants finissent.HĂ©las ! Tweets by @paperblog_fr. Magazine Cuisine. Jeux; Les Auteurs ; Les articles de votre blog ici ? Inscrivez votre blog ! ACCUEIL âș RECETTES âș COMPOTE. Tarte sablĂ©e pralinĂ©e, ses fraises sous sa
Melancholiaest un poĂšme de Victor Hugo, Ă©crit en Juillet 1838 Ă Paris et paru en 1856 dans le recueil Les Contemplations, au livre III: Les luttes et les rĂȘves. Dans ce poĂšme en alexandrins, Victor Hugo dĂ©nonce le travail dur et pĂ©nible des enfants.On compare souvent ce poĂšme aux MisĂ©rables, car Victor Hugo y dĂ©nonce les conditions de travail et de vie de son Ă©poque.
Unepoésie de Victor Hugo offerte par Amélie, 4°8 Rablog Rabelais Art Blog Littérature Original Graphique Qu'est-ce que tu lis? Sondage. Le RABLOG vous plaßt-il? oui; non ; Voir les résultats. Chargement QR CODE du Rablog . par Tristan 4°4. RECHERCHE SUR LE RABLOG. Recherchez aussi : - aube moins claire - aube moins claire ecoute -
xzCh. Quoi donc ! la vĂŽtre aussi ! la vĂŽtre suit la mienne ! O mĂšre au coeur profond, mĂšre, vous avez beau Laisser la porte ouverte afin quâelle revienne, Cette pierre lĂ -bas dans lâherbe est un tombeau ! La mienne disparut dans les flots qui se mĂȘlent ; Alors, ce fut ton tour, Claire, et tu tâenvolas. Est-ce donc que lĂ -haut dans lâombre elles sâappellent, Quâelles sâen vont ainsi lâune aprĂšs lâautre, hĂ©las ? Enfant qui rayonnais, qui chassais la tristesse, Que ta mĂšre jadis berçait de sa chanson, Qui dâabord la charmas avec ta petitesse Et plus tard lui remplis de clartĂ© lâhorizon, VoilĂ donc que tu dors sous cette pierre grise ! VoilĂ que tu nâes plus, ayant Ă peine Ă©tĂ© ! Lâastre attire le lys, et te voilĂ reprise, O vierge, par lâazur, cette virginitĂ© ! Te voilĂ remontĂ©e au firmament sublime, ĂchappĂ©e aux grands cieux comme la grive aux bois, Et, flamme, aile, hymne, odeur, replongĂ©e Ă lâabĂźme Des rayons, des amours, des parfums et des voix ! Nous ne tâentendrons plus rire en notre nuit noire. Nous voyons seulement, comme pour nous bĂ©nir, Errer dans notre ciel et dans notre mĂ©moire Ta figure, nuage, et ton nom, souvenir ! Pressentais-tu dĂ©jĂ ton sombre Ă©pithalame ? Marchant sur notre monde Ă pas silencieux, De tous les idĂ©als tu composais ton Ăąme, Comme si tu faisais un bouquet pour les cieux ! En te voyant si calme et toute lumineuse, Les coeurs les plus saignants ne haĂŻssaient plus rien. Tu passais parmi nous comme Ruth la glaneuse , Et, comme Ruth lâĂ©pi, tu ramassais le bien. La nature, ĂŽ front pur, versait sur toi sa grĂące, Lâaurore sa candeur, et les champs leur bontĂ© ; Et nous retrouvions, nous sur qui la douleur passe, Toute cette douceur dans toute ta beautĂ© ! Chaste, elle paraissait ne pas ĂȘtre autre chose Que la forme qui sort des cieux Ă©blouissants ; Et de tous les rosiers elle semblait la rose, Et de tous les amours elle semblait lâencens. Ceux qui nâont pas connu cette charmante fille Ne peuvent pas savoir ce quâĂ©tait ce regard Transparent comme lâeau qui sâĂ©gaie et qui brille Quand lâĂ©toile surgit sur lâocĂ©an hagard. Elle Ă©tait simple, franche, humble, naĂŻve et bonne ; Chantant Ă demi-voix son chant dâillusion, Ayant je ne sais quoi dans toute sa personne De vague et de lointain comme la vision. On sentait quâelle avait peu de temps sur la terre, Quâelle nâapparaissait que pour sâĂ©vanouir, Et quâelle acceptait peu sa vie involontaire ; Et la tombe semblait par moments lâĂ©blouir. Elle a passĂ© dans lâombre oĂč lâhomme se rĂ©signe ; Le vent sombre soufflait ; elle a passĂ© sans bruit, Belle, candide, ainsi quâune plume de cygne Qui reste blanche, mĂȘme en traversant la nuit ! Elle sâen est allĂ©e Ă lâaube qui se lĂšve, Lueur dans le matin, vertu dans le ciel bleu, Bouche qui nâa connu que le baiser du rĂȘve, Ame qui nâa dormi que dans le lit de Dieu ! Nous voici maintenant en proie aux deuils sans bornes, MĂšre, Ă genoux tous deux sur des cercueils sacrĂ©s, Regardant Ă jamais dans les tĂ©nĂšbres mornes La disparition des ĂȘtres adorĂ©s ! Croire quâils resteraient ! quel songe ! Dieu les presse. MĂȘme quand leurs bras blancs sont autour de nos cous, Un vent du ciel profond fait frissonner sans cesse Ces fantĂŽmes charmants que nous croyons Ă nous. Ils sont lĂ , prĂšs de nous, jouant sur notre route ; Ils ne dĂ©daignent pas notre soleil obscur, Et derriĂšre eux, et sans que leur candeur sâen doute, Leurs ailes font parfois de lâombre sur le mur. Ils viennent sous nos toits ; avec nous ils demeurent ; Nous leur disons Ma fille, ou Mon fils ; ils sont doux, Riants, joyeux, nous font une caresse, et meurent. â O mĂšre, ce sont lĂ les anges, voyez-vous ! Câest une volontĂ© du sort, pour nous sĂ©vĂšre, Quâils rentrent vite au ciel restĂ© pour eux ouvert ; Et quâavant dâavoir mis leur lĂšvre Ă notre verre, Avant dâavoir rien fait et dâavoir rien souffert, Ils partent radieux ; et quâignorant lâenvie, Lâerreur, lâorgueil, le mal, la haine, la douleur, Tous ces ĂȘtres bĂ©nis sâenvolent de la vie A lâĂąge oĂč la prunelle innocente est en fleur ! Nous qui sommes dĂ©mons ou qui sommes apĂŽtres, Nous devons travailler, attendre, prĂ©parer ; Pensifs, nous expions pour nous-mĂȘme ou pour dâautres ; Notre chair doit saigner, nos yeux doivent pleurer. Eux, ils sont lâair qui fuit, lâoiseau qui ne se pose Quâun instant, le soupir qui vole, avril vermeil Qui brille et passe ; ils sont le parfum de la rose Qui va rejoindre aux cieux le rayon du soleil ! Ils ont ce grand dĂ©goĂ»t mystĂ©rieux de lâĂąme Pour notre chair coupable et pour notre destin ; Ils ont, ĂȘtres rĂȘveurs quâun autre azur rĂ©clame, Je ne sais quelle soif de mourir le matin ! Ils sont lâĂ©toile dâor se couchant dans lâaurore, Mourant pour nous, naissant pour lâautre firmament ; Car la mort, quand un astre en son sein vient Ă©clore, Continue, au delĂ , lâĂ©panouissement ! Oui, mĂšre, ce sont lĂ les Ă©lus du mystĂšre, Les envoyĂ©s divins, les ailĂ©s, les vainqueurs, A qui Dieu nâa permis que dâeffleurer la terre Pour faire un peu de joie Ă quelques pauvres coeurs. Comme lâange Ă Jacob, comme JĂ©sus Ă Pierre, Ils viennent jusquâĂ nous qui loin dâeux Ă©touffons, Beaux, purs, et chacun dâeux portant sous sa paupiĂšre La sereine clartĂ© des paradis profonds. Puis, quand ils ont, pieux, baisĂ© toutes nos plaies, PansĂ© notre douleur, azurĂ© nos raisons, Et fait luire un moment lâaube Ă travers nos claies, Et chantĂ© la chanson du ciel dam nos maisons, Ils retournent lĂ -haut parler Ă Dieu des hommes, Et, pour lui faire voir quel est notre chemin, Tout ce que nous souffrons et tout ce que nous sommes, Sâen vont avec un peu de terre dans la main. Ils sâen vont ; câest tantĂŽt lâĂ©clair qui les emporte, TantĂŽt un mal plus fort que nos soins superflus. Alors, nous, pĂąles, froids, lâoeil fixĂ© sur la porte, Nous ne savons plus rien, sinon quâils ne sont plus. Nous disons â A quoi bon lâĂątre sans Ă©tincelles ? A quoi bon la maison oĂč ne sont plus leurs pas ? A quoi bon la ramĂ©e oĂč ne sont plus les ailes ? Qui donc attendons-nous sâils ne reviendront pas ? â Ils sont partis, pareils au bruit qui sort des lyres. Et nous restons lĂ , seuls, prĂšs du gouffre oĂč tout fuit, Tristes ; et la lueur de leurs charmants sourires Parfois nous apparaĂźt vaguement dans la nuit. Car ils sont revenus, et câest lĂ le mystĂšre ; Nous entendons quelquâun flotter, un souffle errer, Des robes effleurer notre seuil solitaire, Et cela fait alors que nous pouvons pleurer. Nous sentons frissonner leurs cheveux dans notre ombre ; Nous sentons, lorsquâayant la lassitude en nous, Nous nous levons aprĂšs quelque priĂšre sombre, Leurs blanches mains toucher doucement nos genoux. Ils nous disent tout bas de leur voix la plus tendre Mon pĂšre, encore un peu ! ma mĂšre, encore un jour ! Mâentends-tu ? je suis lĂ , je reste pour tâattendre Sur lâĂ©chelon dâen bas de lâĂ©chelle dâamour. Je tâattends pour pouvoir nous en aller ensemble. Cette vie est amĂšre, et tu vas en sortir. Pauvre coeur, ne crains rien, Dieu vit ! la mort rassemble. Tu redeviendras ange ayant Ă©tĂ© martyr. » Oh ! quand donc viendrez-vous ? Vous retrouver, câest naĂźtre. Quand verrons-nous, ainsi quâun idĂ©al flambeau, La douce Ă©toile mort, rayonnante, apparaĂźtre A ce noir horizon quâon nomme le tombeau ? Quand nous en irons-nous oĂč vous ĂȘtes, colombes ! OĂč sont les enfants morts et les printemps enfuis, Et tous les chers amours dont nous sommes les tombes, Et toutes les clartĂ©s dont nous sommes les nuits ? Vers ce grand ciel clĂ©ment oĂč sont tous les dictames, Les aimĂ©s, les absents, les ĂȘtres purs et doux, Les baisers des esprits et les regards des Ăąmes, Quand nous en irons-nous ? quand nous en irons-nous ? Quand nous en irons-nous oĂč sont lâaube et la foudre ? Quand verrons-nous, dĂ©jĂ libres, hommes encor, Notre chair tĂ©nĂ©breuse en rayons se dissoudre, Et nos pieds faits de nuit Ă©clore en ailes dâor ? Quand nous enfuirons-nous dans la joie infinie OĂč les hymnes vivants sont des anges voilĂ©s, OĂč lâon voit, Ă travers lâazur de lâharmonie, La strophe bleue errer sur les luths Ă©toilĂ©s ? Quand viendrez-vous chercher notre humble coeur qui sombre ? Quand nous reprendrez-vous Ă ce monde charnel, Pour nous bercer ensemble aux profondeurs de lâombre, Sous lâĂ©blouissement du regard Ă©ternel ? Victor Hugo
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Deux hommes au bord de la mer, au coucher du soleil 14 dĂ©cembre 2009 La mer Voici, encore une fois, une toile de Caspar David Friedrich ; aprĂšs Voyageur contemplant une mer de nuages, voici dans le mĂȘme genre ses personnages sont le plus souvent reprĂ©sentĂ©s en pleine contemplation devant un paysage grandiose, Deux hommes au... Extrait des Hymnes Ă la nuit de Friedrich Leopold dit Novalis 05 janvier 2010 la nuit Un jour que je versais amĂšrement des larmes, que dĂ©faite en douleur, mon espĂ©rance allait s'Ă©vanouir, - et j'Ă©tais solitaire, debout prĂšs de ce tertre aride qui, dans son lieu obscure et resserrĂ©, dĂ©tenait l'ĂȘtre de ma vie - solitaire comme aucun solitaire... La mer, Chateaubriand 08 dĂ©cembre 2009 La mer Qu'est-ce que reprĂ©sente la mer pour Chateaubriand? 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vendredi 14 octobre 2011 L'aube est moins claire... - Victor HUGO - Les grands poÚmes classiques - Poésie française - Tous les poÚmes - Tous les poÚtes L'aube est moins claire... - Victor HUGO - Les grands poÚmes classiques - Poésie française - Tous les poÚmes - Tous les poÚtes Publié par Dalila à 1338 Aucun commentaire Enregistrer un commentaire Article plus récent Article plus ancien Accueil Inscription à Publier les commentaires Atom
L'aube est moins claire... PoĂšme de VICTOR HUGO L'aube est moins claire, l'air moins chaud, le ciel moins pur ;Le soir brumeux ternit les astres de l' longs jours sont passĂ©s ; les mois charmants ! voici dĂ©jĂ les arbres qui jaunissent !Comme le temps s'en va d'un pas prĂ©cipitĂ© !Il semble que nos yeux, qu'Ă©blouissait l'Ă©tĂ©,Ont Ă peine eu le temps de voir les feuilles qui vit comme moi les fenĂȘtres ouvertes,L'automne est triste avec sa bise et son brouillard,Et l'Ă©tĂ© qui s'enfuit est un ami qui dit cette voix qui dans notre Ăąme pleure,Adieu, ciel bleu ! beau ciel qu'un souffle tiĂšde effleure !VoluptĂ©s du grand air, bruit d'ailes dans les bois,Promenades, ravins pleins de lointaines voix,Fleurs, bonheur innocent des Ăąmes apaisĂ©es,Adieu, rayonnements ! aubes ! chansons ! rosĂ©es !Puis tout bas on ajoute ĂŽ jours bĂ©nis et doux !HĂ©las ! vous reviendrez ! me retrouverezvous ? Toute la lyre Voir tous les poĂšmes de VICTOR HUGO
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